La sonde de la NASA, Mars
Reconnaissance Orbiter, a pris des clichés de l’endroit où devait se poser en
douceur le module européen Schiaparelli. La photo d’une tache sombre de
quarante mètres de large sur le sol, publiée vendredi 21 octobre, ne
laisse aucun doute : l’engin de 600 kilogrammes s’est bel et bien écrasé
le 19 octobre, ajoutant un cratère à la plaine Merdiani Planum. L’Europe,
associée aux Russes, n’a donc toujours pas réussi à se poser sur Mars.
En 2003, le rover Beagle 2 avait touché la surface mais était resté
silencieux. « Ce qui sauve la mission cette fois est d’avoir équipé le
module de capteurs pour récupérer des données pendant la descente. C’est une
des leçons tirées de l’échec précédent. Et nous sommes positivement
impressionnés par les données recueillies », estime Thierry
Blancquaert, responsable de cet atterrisseur pour l’Agence spatiale européenne
(ESA).Le Monde Sciences
A sonda da NASA, Mars Reconnaissance Orbiter, vén de tomar instantáneas de onde debía
posarse suavemente o módulo europeo Schiaparelli. Unha foto dunha mancha escura
de corenta metros de ancho no chan, publicado o venres, 21 de outubro, non
deixa dúbidas: a enxeño de 600 quilogramos estrelouse o 19 de outubro,
agregando un cráter no Merdiani Planum. Así, Europa, asociada cos rusos, non
foi quen de se posar en Marte. En 2003, o explorador Beagle 2 tocara a
superficie pero permaneceu en silencio. "O que salva á misión esta vez é ter
equipado o módulo sensor para recuperar os datos durante o descenso. É unha das
leccións aprendidas do fracaso anterior. "E quedámonos impresionados
positivamente polos datos recollidos", apunta Thierry Blancquaert,
responsable deste aterrizador para a Axencia Espacial Europea (ESA).
Ramón CId