BIENVENUS À CONSCIENCE

Bonjour à toutes et à tous.
Ce blog est un lieu de rencontre pour les étudiants de secondaire, de la section bilingue - matière physique-chimie- de l´
IES de Sar de Santiago de Compostela (Galice, Espagne).Un espace dans lequel les élèves de 3º et 4º de la ESO commentent des nouvelles en relation avec la science qu´ils trouvent en langue française.
Tous les commentaires et collaborations sont les bienvenus.



Ola a todas e todos.

Este Blogue é un lugar de encontro para os estudantes de secundaria da Sección Bilingüe en Francés, na materia de Física e Química do IES de Sar de Santiago de Compostela (Galicia).

Nel as alumnas e alumnos de 3º e 4º da ESO comentan certas novas relacionadas coa ciencia que atopan en lingua francesa.

Todos os comentarios e colaboracións son moi benvidos.


viernes, 11 de diciembre de 2015

Una nave europea ensayara la tecnología para el futuro observatorio que intentara detectar las ondas gravitacionales predichas en la relatividad.

    Piense en dos pequeños cubos macizos e idénticos. Solo miden 4,5 centímetros de lado pero son muy pesados (dos kilos cada uno) porque están hechos de oro y platino. Estos dos cubos van a viajar en la nave espacial LISA Pathfinder para protagonizar un complejo experimento de caída libre con el que la Agencia Espacial Europea (ESA) ensayara la tecnología necesaria para construir en la década de 2030 un observatorio espacial (eLISA)  que detecte las ondas gravitacionales.
     Se trata de las perturbaciones en el espacio-tiempo que Albert Einstein predijo en 1915. Cien años después, las ondas gravitacionales constituyen la única parte de su Teoría de la Relatividad general que todavía no ha podido ser  demostrada directamente. Compara Carlos Sopuerta “Las masas, al moverse, deforman el espacio que hay alrededor de ellas. Hay que imaginar el espacio como un medio elástico que es deformado por las masas”
     Explica Sopuerta “Sabemos que las ondas gravitacionales existen, pero hasta ahora solo tenemos pruebas indirectas. La única manera de poder detectarlas de forma directa será observando cataclismo cósmicos, como fusiones de agujeros negros o colapsos de supernovas”
     La nave está dotada de un propulsor que permitirá que en ocho semanas de trabajo: el llamado punto de Lagrange L1, situado a 1,5 millones de kilómetros de distancia de la Tierra.
      Señala Iván Lloro Boada “Los telescopios, ya sean espaciales o terrestres, nos permiten ver la radiación electromagnética  a diversas frecuencias, que es toda la luz: rayos X, gamma, microondas. Es como ver una imagen. La radiación gravitacional es un espectro  totalmente diferente, como el sonido, y nos ofrece información complementaria que nos permitirá escuchar los grandes eventos cataclismos del Universo que de otra forma son difíciles de observar.”
       Despego el jueves a las 5:04 ( hora peninsular española) desde el Puerto Espacial Europeo en Kurú (Guayana Fancesa ).
Un navire européen ensayara la technologie pour le futur observatoire qui essayât il détecter les ondes gravitacionales predichas dans la relativité
Pensez en deux petits seaux massifs et identiques. ils seulement mesurent 4,5 centimètres de côté mais ils sont très lourds (deux kilos chacun) parce que sont faits d'or et platine. Ces deux seaux vont voyager dans le navire spatial LISA Pathfinder pour jouer le rôle principal une complexe expérience de chute libre avec lequel l'Agence Spatiale Européenne (CETTE) ensayara la technologie nécessaire pour bâtir dans le décennie de 2030 un observatoire spatial (eLISA)  que détecte les ondes gravitacionales.
     Il s'agit des perturbations dans l'espace-temps qu'Albert Einstein predijo en 1915. Cents ans après, les ondes gravitacionales constituent l'unique part de sa Théorie de la Relativité générale qu'encore n'a pas pu être  démontrée directement. Il compare Carlos Sopuerta “Les masses, au se mouvoir, deforman l'espace qui y a autour d'elles. Il y a qu'imaginer l'espace comme un moyen elástico qu'est deformado par les masses”
     Il explique Sopuerta “Nous savons que les ondes gravitacionales existent, mais jusqu'à présent nous seulement avons des preuves indirectes. L'unique façon de pouvoir les détecter de forme directe sera en remarquant cataclismo cósmicos, comme des fusions de trous noirs ou éffondrements de supernovas”
     Le navire est douée d'un propulsor que permettra qu'en huit semaines de travail: l'appelé point de Lagrange L1, situé à 1,5 millions de kilomètres de distance du Terroir.
      Il signale Iván je Pleure Boada “Les télescopes, déjà soient spatiaux ou terrestres, nous permettent voir la radiation électromagnétique  à des diverses fréquences, qu'il est toute la lumière: rayons X, gamma, micro-ondes. Il est comme voir une image. La radiation gravitacional est un spectre  totalement différent, comme le son, et il nous offre information complémentaire qu'il nous permettra écouter les grands événements cataclismos de l'Univers que d'une autre forme sont difficiles de remarquer.”

       Je décolle le jeudi aux 5:04 ( heure péninsulaire espagnole) depuis le Port Spatial Européen en Kurú ( Guayana Fancesa ).

Le camouflage électrique de la seiche

Unas jibia común, descansando en un acuario de la Universidad de Duke (EE.UU.).
Le camouflage est un art. La peau du ­caméléon, les écailles du lézard des ­sables, les plumes de l’engoulevent du désert ou le pelage du lynx roux en ­offrent, entre autres, de saisissants exemples. Quant à la seiche commune, elle aurait presque sa place au musée, tant l’apparence de sa peau peut changer en quelques secondes (motifs, couleurs, texture) et passer d’un tableau pointilliste à un monochrome de Malevitch.
Le camouflage est aussi une science. Et là ­encore, ce céphalopode habitué de nos assiettes surpasse tous ses rivaux. Une équipe de l’université Duke, aux Etats-Unis, vient en effet de montrer comment, tel un sous-marin militaire, il réduit sa signature électrique pour échapper à ses prédateurs les plus redoutés : les requins. Publié dans la revue Proceedings of the Royal Society B, l’article offre un nouveau regard sur l’animal.
Les biologistes marins avaient déjà largement décrit ses réactions face à la menace. Une large gamme allant de la simple fuite au fameux jet d’encre, en passant par l’immobilité complète. C’est à cette dernière stratégie que les chercheurs américains se sont attelés. Attaquée par un...

El camuflaje electrico de la sepia:
O camuflaxe é un art. A pel do camaleón, as escamas dun lagarto,ou a pelaxe dun lince vermello, entre outros exemplos chamativos. En canto a sepia, a apariencia pode cambiar en cuestión de segundos ( modificar patróns, colores e texturas), e pasar a unha pintura puntillista con un monocroma de Malevitch.
O camuflaxe é tamen unha ciencia. E coma sempre, é habitual encontrar este cefalópodo no noso plato superando todos os seus rivales. Un equipo da Universidade Duke, nos Estados Unidos, móstranos como un submarino reduciu a sua firma eléctrica para poder escapar dos seus depredadores máis perigosos como: tiburóns.
Os biólogos mariños describiron en gran medida a sua reacción a amenaza. Unha larga gama desde o simple escape da famosa inyección de tinta, a través da inmobilidade completa. E a ultima estratéxia que os investigadores estadounidenses abordaron.

Vídeo: https://www.youtube.com/watch?v=mW4PbW893ik

Máis información http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/12/07/le-camouflage-electrique-de-la-seiche_4826554_1650684.html.
                                                                                            Lois Cerviño García 4º E.S.O


jueves, 10 de diciembre de 2015

Première guérison d’une leucémie grâce à un traitement génétique


Première guérison d’une leucémie grâce à un traitement génétique 

 La première patiente soignée est une petite fille britannique de 11 mois atteinte d’un cancer du sang (leucémie) ayant résisté à tous les autres traitements. Elle a été guérie après deux mois de traitement.
 
C’est une première pour la biotech française Cellectics. La start-up spécialisée dans l’immunothérapie – une approche qui consiste à renfoncer le système immunitaire pour l’aider à lutter contre la maladie – a annoncé jeudi 5 novembre que son médicament expérimental avait été utilisé avec succès chez l’humain. La première patiente soignée est une petite fille britannique de 11 mois atteinte d’un cancer du sang (leucémie) ayant résisté à tous les autres traitements. « Sa leucémie était tellement agressive qu’une telle réponse est presque un miracle », a déclaré le professeur Paul Veys, directeur de l’unité de transplantation de moelle osseuse du Great Ormond Street Hospital (GOSH) de Londres, où était traitée Layla Richards.

La start-up sise à Paris développe des cellules immunitaires dont l’ADN a été modifié grâce à des ciseaux moléculaires et que l’on appelle dans le jargon des « CAR-T ». Ainsi adaptées, elles sont capables de détecter et de détruire des tumeurs qui échappent aux mécanismes de défense classique du corps.

Depuis cinq ans, plusieurs laboratoires, dont le suisse Novartis ainsi que les biotechs américaines Kite et Juno, proposent ce type de thérapies. Très efficaces (plus de 90 % des patients sont guéris), elles sont cependant très peu utilisées : selon les estimations, seuls 200 patients dans le monde ont pu en bénéficier. Pourquoi ce paradoxe ? Dans leur version actuelle, les CAR-T sont fabriquées à partir des propres cellules immunitaires du patient, afin de limiter le risque de rejet. Chaque dose étant unique, la production reste anecdotique, et le coût du traitement se révèle astronomique : entre 250 000 et 1 million de dollars par patient. « La demande est immense, mais, faute d’industrialisation, les listes d’attentes sont interminables », souligne André Choulika, le fondateur de la start-up.
 




 La primera curación de leucemia por un tratamiento genético

Esta es la primera vez que la biotecnológica francesa Cellectis. La puesta en marcha se especializa en la inmunoterapia - un enfoque que consiste en el fortalecimiento del sistema inmune para ayudar a luchar contra la enfermedad - Jueves, 05 de noviembre anunció que su medicamento experimental había sido utilizado con éxito en humanos. El primer paciente tratado es una niña británica que tiene un cancer de sangre (leucemia) que habia resistido a todos los tratamientos. "Su leucemia era tan agresiva que tal respuesta es casi un milagro", dijo el profesor Paul Veys, director de la Unidad de Trasplante de Médula Ósea del Hospital Great Ormond Street (GOSH) en Londres, donde fue tratada Layla Richards.

La puesta en marcha con sede en París desarrollo de células inmunes cuyo ADN ha sido alterado con tijeras moleculares llamados en la jerga de "AS-T". Así adaptados, son capaces de detectar y destruir los tumores que escapan a los mecanismos clásicos de defensa del cuerpo.


Durante cinco años, varios laboratorios, incluyendo el Novartis  y  biotecnología estadounidense de la Kite y June ofrecieron dichas terapias. Muy eficiente (más del 90% de los pacientes se curan), rara vez se utilizan, sin embargo: según estimaciones, sólo 200 pacientes en todo el mundo se han beneficiado. ¿Por qué esta paradoja? En su forma actual, el CAR-T están hechos de las propias células inmunes del paciente para limitar el riesgo de rechazo. Cada dosis es único, la producción sigue siendo anecdótica, y el costo del tratamiento está demostrando astronómica: entre 250 000 y 1 millón de dólares por paciente. "La demanda es enorme, pero por falta de industrialización, las listas de espera son infinitas", dice André Choulika, fundador de la puesta en marcha.

Más información 

Alba Cebeiro Vigo  4º ESO

Astronomie : du sel éblouissant sur l’astéroïde Cérès

Le cratère Occator, sur l'astéroïde Cérès, abrite une brillante tache blanche constituée de sel (photo en fausses couleurs).


Leur sonde est depuis neuf mois en orbite autour de l’astéroïde Cérès. Mais c’est à peine si les scientifiques de la mission Dawn de la NASA commencent à  percer son mystère. Ils publient, jeudi 10 décembre, dans la revue Nature, deux articles, dont l’un rélève enfin la nature des étranges «point lumineux» visibles à sa surface.Des dépôts de sel qui, combinés à la présence de brumes, pourraient indiquer l’existence d’une activité cométaire chez ce corps rocheux.
Partie en 2007, la mission Dawn est consacrée à l’exploration des deux objets les plus massifs de la « ceinture principale », cette région de l’espace, située entre Mars et Jupiter, connue pour sa population de plus de 676 000 astéroïdes. Après avoir séjourné entre juillet 2011 et septembre 2014 aux alentours de Vesta, large de 530 km, l’engin spatial – qui est le premier de histoire à avoir réussi à se mettre successivement en orbite autour de deux astres – a atteint Cérès le 6 mars.

Vidéo: https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=YNjktBvsGA0


Geysers de vapeur d’eau:
Découvert en 1801, cet astre sphérique, de 930 km de diamètre, intrigue depuis longtemps les chercheurs. Sa masse représente un quart de celle cumulée de tous les astéroïdes de la « ceinture principale ». Et pourtant, jusqu’ici, peu d’informations le concernant étaient disponibles. Les astronomes pensaient qu’il était constitué de 25 % d’eau se présentant sous forme de matériaux hydratés au niveau de sa surface. Et qu’il pourrait être partiellement différencié – c’est-à-dire contenir un noyau rocheux entouré d’un manteau et d’une croûte – et même dissimuler quelque part dans son sous-sol des poches de glace, voire un océan liquide.
A cela s’ajoutaient des observations réalisées par le télescope spatial Herschel de l’ESA. Celles-ci avaient mis en évidence, en janvier 2014, la présence de deux énormes geysers de vapeur d’eau jaillissant, de manière intermittente, au niveau de son équateur. Une découverte qui, raconte Antonella Barucci, astrophysicienne au Laboratoire d’études spatiales et d’instrument en astrophysique de l’Observatoire de Paris et du CNRS, avait été l’objet d’une controverse : « Certains scientifiques avançant l’hypothèse que ces jets étaient le résultat d’une collision avec une comète qui aurait mis à nu une zone aqueuse du manteau ou dont la glace serait en train de se sublimer.D’autres défendant l’idée qu’ils avaient été produits par une activité “cryovolcanique”, un mécanisme de remontée d’eau depuis le sous-sol dont la source d’énergie restait à déterminer. »


Video: https://www.youtube.com/watch?v=YHniYnp3PK8

Pour l’instant, les données envoyées par Dawn ne permettent pas de trancher . Les premières images réalisées par la sonde ne laissent, en effet, apparaître aucun geyser. « Elles montrent des terrains fortement et uniformément cratérisés, présentant ici ou là quelques fractures et élévations, ainsi qu’une montagne, signes d’une activité géologique ancienne », estime Gabriel Tobie, chercheur au CNRS, attaché au Laboratoire de planétologie et de géodynamique à Nantes. Dans l'un d'articles publies cette semaine dans Nature,l’équipe de la NASA annonce que cette surface de couleur noire est principalement constituée d’argiles chargées en ammonium. « Une observation qui étonne, car, explique Michael Toplis, directeur de recherche CNRS à l’Institut de recherche d’astrophysique et planétologie à Toulouse et coauteur de l’étude, pour être incorporés dans les sols, ce dérivé de l’ammoniac doit avoir été au préalable solidifié et donc soumis à de très basses températures. » De pareilles conditions ne régnant que dans la partie la plus externe du système solaire, loin de la « ceinture principale » d’astéroïdes, les scientifiques n’excluent pas que ce matériel en provienne, voire que Cérès lui-même ait été formé dans cette région, avant d’avoir été déplacé jusqu’à son emplacement actuel.
Vue d'artiste présentant deux hypothèses concernant la formation de Cérès : en haut, Cérès s'est formée dans la ceinture principale, et l'ammonium qui entre dans sa composition provient des zones externes du système solaire ; en bas, la planète naine s'est formée dans ces zones externes, incorporant l'ammonium durant ce processus, avant de migrer vers la ceinture principale.
Traces laissées par l’eau:
Découverte au moment de l’arrivée de la sonde, une série de points lumineux focalise depuis plusieurs mois l’attention des chercheurs. En raison des observations de geysers qui avaient été effectués par Herschel, certains ont imaginé que ces surfaces, très réfléchissantes et visibles à 130 endroits différents, pourraient correspondre à de la glace d’eau présente à la surface de l’astre. L’analyse par spectroscopie de la composition de la plus « brillante » des tâches – occupant le fond d’une fosse située au centre d’Occator, un cratère équatorial vieux de 78 millions d’années, large de 90 km et profond de 4 km – montre que tel n’est pas le cas. Selon les scientifiques, ce point lumineux n’est pas fait de glace, mais d’un sel de sulfate de magnésium, appelé « hexahydrite ».
Est-ce à dire que de la glace n’est pas, pour autant, présente en dessous, à faible profondeur ? Au contraire ! Les spécialistes estiment que ces sels pourraient être des dépôts laissés par le passage de l’eau de l’état solide à l’état gazeux. Une hypothèse confortée par l’apparition, aux heures les plus chaudes de la journée, de brumes diffuses au-dessus de la surface du fond du cratère. Si cette interprétation devait s’avérer, Cérès serait le premier astéroïde de la ceinture principale à « vaporiser », selon un mécanisme jusque ici considéré comme propre aux comètes. Il établirait ainsi une sorte de continuum entre ces deux catégories de corps célestes longtemps jugées de natures différentes.
Les prochains mois devraient permettre d’en apprendre un peu plus. Le 18 décembre, la sonde entamera, en effet, la dernière phase de sa mission. Celle de l’exploration de Cérès par un survol à basse altitude (385 km) au cours duquel un nouvel instrument devrait être utilisé. De quoi s’attendre à de multiples découverte.

Su sonda está después de nueve meses alrededor de Ceres. Pero apenas los científicos de la misión Dawn de la Nasa comenzaron a perforar en su misterio. Publican, el 10 de diciembre en la revista Nature,los artículos, uno de los cuales se observa la naturaleza de unos extraños <> en su superficie.Depósitos de sal que, junto con la presencia de nieblas, podrían indicar la existencia de una actividad cometaria en este cuerpo rocoso. Partiendo de 2007, la misión Dawn está dedicada a la exploración de los dos objetos más masivos en la región "cinturón principal" de espacio entre Marte y Júpiter, conocida por su población de más de 676.000 asteroides. Después de permanecer entre julio de 2011 y septiembre de 2014 alrededor de Vesta, 530 km de ancho, la nave espacial - que es el primero en la historia que ha logrado poner en órbita sucesivamente dos estrellas - alcanzado Ceres 06 de marzo. 

Géiseres de vapor de agua:
Descubiertos en 1801, estos astros esféricos, 930 km de diámetro intrigó durante mucho tiempo a los investigadores.Su masa  acumula una cuarta parte de todos los asteroides en el "cinturón principal". Sin embargo, hasta ahora, había poca información disponible acerca de el.Descubierto en 1801, esta estrella esférica, 930 km de diámetro captó la atención de los investigadores durante mucho . Su masa equivale a una cuarta parte de todos los asteroides en el "cinturón principal". Sin embargo, hasta ahora, había poca información acerca. Los astrónomos pensaban que estaba constituido en un  25% de agua en forma de materiales hidratados en su superficie. Contiene un núcleo rocoso rodeado por un manto y la corteza, e incluso puede ocultar en algún lugar bajo su superficie bolsas de hielo o un océano líquido.
Además están las observaciones realizadas por el telescopio espacial Herschel de la ESA. Estos habían puesto de manifiesto en enero de 2014, la presencia de dos enormes géiseres de vapor en su ecuador.Un descubrimiento que para Antonella Barucci, astrofísico del Laboratorio de Estudios y Astrofísica Espacial instrumento del Observatorio de París y del CNRS, habían sido objeto de controversia:"Algunos científicos avanzan en la hipótesis de que estos chorros fueron el resultado de una colisión con un cometa que habría sacado la zona del manto acuoso o de que la lente está en el proceso de sublimación.  Los otros defendían la idea de que habían sido producidos por una actividad "criovolcanica" un mecanismo de surgencia originado bajo su suelo y cuya fuente de energía que queda aún por determinar. "
Por ahora, los datos enviados por Dawn son concluyentes. Las imágenes RAW tomadas por la sonda, no muestran un géiser. "Muestran el terreno de manera uniforme de cráteres, y aquí y allí con un par de fracturas y elevaciones, así como una montaña, los signos de una actividad geológica antigua", dijo Gabriel Tobie, investigador del CNRS en el Laboratorio de Planetología y Geodinámica adjunta en Nantes.En uno de los artículos publicados esta semana en Nature, el equipo de la NASA anunció que esta superficie de color negro se compone principalmente de arcilla cargada con amonio. « Una observación  que es sorprendente porque, dice Michael Toplis, director de investigación del CNRS en el Instituto de Investigación Astrofísica y Planetología de Toulouse y co-autor del estudio, este derivado de amoniaco debe haber sido solidificado de antemano y por lo tanto sujeto a temperaturas muy bajas.»Tales condiciones existen sólo en la parte más exterior del sistema solar, lejos del "cinturón principal" de los asteroides,los científicos no excluyen que este material está en Ceres, porque se formó en esa región, antes de ser trasladarse a su ubicación actual.

Huellas dejadas por el agua:
Descubierto en el momento de la llegada de la sonda, una serie de puntos brillantes centró durante varios meses la atención de los investigadores. Debido a que las observaciones de géiseres fueron hechas por Herschel, algunos imaginaron que estas superficies altamente reflectantes, y visibles en 130 lugares diferentes, podría corresponder al hielo de agua presente en la superficie de la estrella. El análisis espectroscópico de las mayoría de las tareas de composición "brillantes", sostiene el fondo de su subsuelo el centro de Occator, un viejo cráter ecuatorial de 78 millones de años de antigüedad y 90 km de ancho y 4 km de profundidad. Según los científicos, este lugar no está hecho de hielo, sino por una sal de sulfato de magnesio llamada "hexahidrita".
¿Significa esto que el hielo no es superficial? Los expertos estiman que estas sales pueden ser los depósitos dejados por el paso del agua del estado sólido al estado gaseoso. Una hipótesis reforzada por la aparición, durante las horas más calurosas del día, de una neblina difusa por encima de la superficie del suelo del cráter. Si esta interpretación fuera de probar, Ceres sería el primer asteroide del cinturón principal para "vaporizar", según un mecanismo considerado ahora propio de los cometas.
Se espera saber un poco más en los próximos meses. El 18 de diciembre, la sonda comenzará, la última fase de su misión. Esta exploración de Ceres será volando bajo, alrededor de unos 385 km.

Ver más: http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/12/09/astronomie-du-sel-eblouissant-sur-l-asteroide-ceres_4828148_1650684.html


Samuel Ventosa Cela, 4º E.S.O. 


Etats-Unis : naissance de chiots éprouvettes, une première mondiale

37 ans après la naissance du premier bébé fécondé in vitro, les premiers chiots éprouvette ont vu le jour aux Etats-Unis. La portée compte sept chiots nés en juillet, un mélange de beagle, de labrador et de cocker, tous en parfaite santé, a précisé Alex Travis, professeur de biologie de la reproduction à l'école vétérinaire de l'Université Cornell (Etat de New York), qui a dirigé cette expérience.
Cette réussite, qui a fait l'objet d'une publication mercredi dans la revue scientifique Public Library of Science ONE, ouvre la possibilité de préserver des espèces canines en danger d'extinction en utilisant des technologies d'édition génétique permettant d'éliminer des maladies héréditaires canines. Cela permet aussi de les étudier.
Au total, ce sont 19 embryons fécondés en laboratoire qui ont été transférés dans une chienne. «On a essayé depuis le milieu des années 1970 la fécondation in vitro avec des chiens mais sans jamais réussir», rappelle Alex Travis. La difficulté s'explique par le fait que les cycles de reproduction des chiens sont différents des autres mammifères, ce qui rend difficile de féconder les ovocytes. Grâce à la technique développée pour surmonter ces difficultés, ces chercheurs sont parvenus à un taux de succès de fécondation in vitro de 80 à 90%, précise le professeur Travis.
Avancée pour la conservation des espèces en danger
Un autre obstacle pour les chercheurs a été la congélation des embryons, ce qu'ils ont pu maîtriser dès 2013. Congeler les embryons permet de les insérer dans l'oviducte de la chienne, l'équivalent des trompes de Fallope chez les humains, au moment le plus propice de son cycle de reproduction, qui ne survient qu'une ou deux fois par an, expliquent ces scientifiques.
Les chiens partagent plus de 350 maladies héréditaires et traits avec les humains et presque deux fois plus de gènes que toutes les autres espèces animales. De ce fait, souligne le professeur Travis, «les chiens offrent un outil puissant pour comprendre les fondements génétiques des maladies» humaines. Selon lui, cette avancée a également des retombées plus étendues pour les efforts de conservation des espèces sauvages.
«Nous pouvions déjà congeler et préserver le sperme et l'utiliser pour l'insémination artificielle. On savait aussi congeler les ovocytes mais sans maîtriser la fécondation in vitro, nous ne pouvions pas les utiliser», a expliqué Alex Travis. Ainsi, «nous pouvons désormais utiliser cette technique pour conserver le patrimoine génétique des espèces en danger d'extinction et le perpétuer.»


Estados Unidos: nacimiento de especimenes de cachorro, una primicia mundial

37 años despues del primer nacimiento de bebe fecundado in vitro los primeros especimenes de cachorros han surgido en Estados Unidos. Han nacido siete cachorros en julio, una mezcla de beagle, labrador y de cocker, todos con perfecta salud, a precisado Alex Travis, profesor de biologia de la reproducción de la Universidad Cornell ( Nueva York), que ha dirigido este proyecto.
Este éxito que ha sido publicado el miércoles en la revista cientifica (Public Library of Science ONE)
abre la posibilidad de presevar la especies caninas en peligro de extinción usando la tecnologia de edición genética que elimina las enfermedades hereditarias caninas.
En total, son 19 embriones fecundados en el laboratorio que son tranferidos a un perro. « Intentamos desde mediados de la década de 1970 la fertilización in vitro con los perros pero nunca lo logramos» dice Alex Travis. La dificultad se explica por el hecho de que los ciclos reproductivos de los perros son diferentes de los de otros mamíferos, es por esto que es dificil fecundar los óvulos. Gracias a la técnica desarrollada para superar estas dificultades, estos investigadores fueron capaces de tener una tasa de éxito de un 80%-90% de fecundacion in vitro,explica el profesor Travis.
Otro obstáculo para los investigadores fue la congelación de los embriones, lo que podían controlar en 2013. Congelar los embriones permite la introducción de ellos en el oviducto del perro, el equivalente de las trompas de falopio en los humanos, el mejor momento de su ciclo reproductivo que se produce una vez o dos al año, explican los científicos.
Los perros comparten mas de 350 enfermedades hereditarias, rasgos con los humanos y más genes que cualquier otro animal. Por esto, recalca el profesor Travis « los perros ofrecen una herramienta poderosa para la compresión de la base genética de la enfermedad humana». Según él, este avance también tiene implicaciones más amplias para los esfuerzos de conservación de las especies salvajes.
« Nosotros podríamos congelar y preservar el esperma y utilizarlo para la inseminación artificial. Sabemos también congelar los óvulos pero sin dominar la fecundación in vitro, nosotros no podríamos utilizarlos» explicó Alex Travis. Por tanto « podríamos utilizar esta técnica para conservar el patrimonio genético de especies en peligro y perpetuarlo».

Noticia sacada del periódico Le Parisien
Sara Brea Seoane 4º ESO

LAS MATEMÁTICAS Y LOS SIMPSONS: UNOS DIBUJOS ANIMADOS

Capture d'écran de la série "Les Simpson"


Un complot pour éduquer secrètement les spectateurs de dessins animés. » A la lecture du nouveau livre du journaliste scientifique britannique Simon Singh, Les Mathématiques des Simpson, David X. Cohen, l’un des auteurs de la série américaine, est passé aux aveux. Dans une vie antérieure, il a étudié la robotique et l’informatique à Harvard et Berkeley. Comme nombre de scénaristes des aventures de Bart, Homer, Marge, Lisa, Maggie et des habitants de Springfield, David Cohen est un nerd, un passionné de sciences, et de mathématiques en particulier. Et tout comme eux, il ne peut s’empêcher de truffer les épisodes de références plus ou moins cryptiques à sa discipline favorite – quand il ne fait pas de celle-ci le ­moteur des rebondissements ou de l’intrigue.
L’équipe qui imagine et fabrique la série créée en 1987 par le dessinateur Matt Groening compte en effet une concentration ­impressionnante d’obsédés des chiffres, ­d’anciens...




Un complot para educar en secreto a los espectadores de los dibujos animados.Al leer el nuevo libro de periodista científico británico Simon Singh, "La Matemática de los Simpsons", David X. Cohen, uno de los autores de la serie americana, se confesó. Anteriormente, había estudiado robótica y informática en Harvard y Berkeley. Al igual que muchos de los  escritores de las aventuras de  Bart, Homer, Marge, Lisa, Maggie y los habitantes de Springfield, David Cohen es un nerd, con una pasión por la ciencia y las matemáticas en particular. Y así como ellos, no puede evitar hacer más o menos referencias mediante acertijos en los episodios sobre su disciplina favorita - cuando no lo convierte en el motor o en giros de la trama.
El equipo de diseño y fabricación la serie (creada en 1987 por el dibujante Matt Groening) cuentan con una impresionante concentración de viejas figuras obsesionadas por los números.



Alejandro Díaz Vilas 4º ESO