BIENVENUS À CONSCIENCE

Bonjour à toutes et à tous.
Ce blog est un lieu de rencontre pour les étudiants de secondaire, de la section bilingue - matière physique-chimie- de l´
IES de Sar de Santiago de Compostela (Galice, Espagne).Un espace dans lequel les élèves de 3º et 4º de la ESO commentent des nouvelles en relation avec la science qu´ils trouvent en langue française.
Tous les commentaires et collaborations sont les bienvenus.



Ola a todas e todos.

Este Blogue é un lugar de encontro para os estudantes de secundaria da Sección Bilingüe en Francés, na materia de Física e Química do IES de Sar de Santiago de Compostela (Galicia).

Nel as alumnas e alumnos de 3º e 4º da ESO comentan certas novas relacionadas coa ciencia que atopan en lingua francesa.

Todos os comentarios e colaboracións son moi benvidos.


domingo, 29 de diciembre de 2019

Transgenere dans la science


Elle travaille dans l'informatique quantique et prétend qu'il n'y a personne comme elle dans ce domaine pour ce qu'elle a dit être sa propre mère. Son nom est Juani Bermejo Vega et elle est chercheuse à l'Université de Grenade avec 32 ans. Elle est la seule chercheuse transgenre en Europe et dit qu'il lui est difficile de s'intégrer dans un endroit où personne ne vous ressemble et donc personne ne peut vous aider. Il explique que la science est très hiérarchique et dit également qu'avant de changer de sexe, il était difficile pour lui de faire la transition et qu'il s'était trompé pour ne pas  penser. aujourd'hui, il est revenu de sa résidence en Allemagne pour arrêter les recherches sur Marie Curie. il dit qu'en Allemagne la recherche lq est pyramidale et qu'il est difficile de la stabiliser

"Transgéneros en la ciencia "
Ella trabaja en la computación cuántica y afirma que no hay nadie como ella en ese campo por lo que dice ser su propia madre. Su nombre es Juani Bermejo Vega y es investigadora de la Universidad de Granada con 32 años. Es la única investigadora transgénero en Europa y dice que es difícil integrarse en un sitio si no hay nadie que se te parezca y te pueda ayudar. Explica que la ciencia es muy jerárquica y cuenta también que antes de cambiar de sexo le fue difícil transcicionar y se engañaba para no pensarlo . Hoy en día ella volvió de su residencia en Alemania para trabajar en la investigación Marie Curie en Granada. Ella cuenta que en Alemania la investigación es piramidal y es difícil estabilizarse.


Érika Villaverde Rodríguez (4º ESO)

Premier plongeon dans la fournaise solaire



Le lundi 9 décembre 2019.
Pas moins de quatre articles publiés dans la dernière livraison de la prestigieuse revue Nature annoncent les premiers résultats de la sonde solaire Parker. Depuis 2018, elle effectue des orbites autour de notre étoile dont elle s'est déjà approchée plus près qu'aucun engin auparavant. 
Protégée par un épais bouclier thermique, la sonde solaire de la Nasa, mise en orbite en juillet 2018 a déjà plongée à trois reprises dans la fournaise solaire. En tout, jusqu'en 2025, elle effectuera 24 orbites autour de notre étoile, le point d'approche minimum entre la sonde et le Soleil – le périhélie — se réduisant progressivement jusqu'à atteindre 10 rayons solaires (7 millions de km). A cette distance inédite, une flopé"e d'instruments mesurent en permanence le champ magnétique, mais aussi le flux de particules qui s'échappe en continu du Soleil – le vent solaire – et enregistrent des images. Les premières données révèlent un environnement solaire plus tourmenté que ce qu'on imaginait.
Le Soleil est une sphère de gaz – essentiellement de l'hydrogène – d'environ 700 000 km de rayon (en gros deux fois la distance de la Terre à la Lune). La surface solaire, ou photosphère, est la partie du Soleil d'où nous provient sa lumière. Jusqu'à trois rayons solaires, dans ce qu'on appelle la basse couronne solaire, le champ magnétique règne. Au-delà, le vent solaire devient dominant et "ouvre" les structures. C'est ce milieu de la haute couronne que la sonde explore. «  Le champ magnétique est la clé de l'environnement du Soleil qui, comme toutes les étoiles, est un astre magnétisé » explique Thierry Dudok de Wit, professeur à l'université d'Orléans. Celui qui peut mesurer le champ magnétique partout, sait tout ce qui s'y passe

Primera inmersión en el horno solar
Lunes 9 de diciembre de 2019
No menos de cuatro artículos publicados en el último número de la prestigiosa revista Nature anuncian los primeros resultados de la sonda solar Parker. Desde 2018, realiza órbitas alrededor de nuestra estrella a la que ya se ha acercado más que cualquier otra máquina. Protegida por un grueso escudo térmico, la sonda solar de la NASA, puesta en órbita en julio de 2018, ya se ha sumergido tres veces en el horno solar. En total, hasta 2025, realizará 24 órbitas alrededor de nuestra estrella, el punto de aproximación mínimo entre la sonda y el Sol, el perihelio, disminuirá gradualmente a 10 rayos solares (7 millones de km). A esta distancia sin precedentes, una ráfaga de instrumentos mide continuamente el campo magnético, pero también la corriente de partículas que se escapa continuamente del Sol, el viento solar, y registra imágenes. Los primeros datos revelan un entorno solar más atormentado de lo imaginado. 
El Sol es una esfera de gas, esencialmente hidrógeno, de aproximadamente 700,000 km de radio (aproximadamente el doble de la distancia de la Tierra a la Luna). La superficie solar, o fotosfera, es la parte del Sol de donde proviene su luz. Hasta tres rayos solares, en lo que se llama la corona solar baja, reina el campo magnético. Más allá, el viento solar se vuelve dominante y "abre" las estructuras. Es esta mitad de la corona alta que explora la sonda. "El campo magnético es la clave del entorno del Sol, que, como todas las estrellas, es una estrella magnetizada", explica Thierry Dudok de Wit, profesor de la Universidad de Orleans. Quien puede medir el campo magnético en todas partes, sabe todo lo que sucede allí. 


Oscar Miras Neira (4º ESO)