BIENVENUS À CONSCIENCE

Bonjour à toutes et à tous.
Ce blog est un lieu de rencontre pour les étudiants de secondaire, de la section bilingue - matière physique-chimie- de l´
IES de Sar de Santiago de Compostela (Galice, Espagne).Un espace dans lequel les élèves de 3º et 4º de la ESO commentent des nouvelles en relation avec la science qu´ils trouvent en langue française.
Tous les commentaires et collaborations sont les bienvenus.



Ola a todas e todos.

Este Blogue é un lugar de encontro para os estudantes de secundaria da Sección Bilingüe en Francés, na materia de Física e Química do IES de Sar de Santiago de Compostela (Galicia).

Nel as alumnas e alumnos de 3º e 4º da ESO comentan certas novas relacionadas coa ciencia que atopan en lingua francesa.

Todos os comentarios e colaboracións son moi benvidos.


domingo, 13 de marzo de 2016

Moteur de 12 millions de chevaux d'essai de la NASA qui prendront l'homme sur Mars

Moteur de 12 millions de chevaux d'essai de la NASA qui prendront l'homme sur Mars

Elle est appelée RS-25 et même si elle a été conçue dans les années soixante-dix, jouit toujours d'un état impeccable de la santé. Pendant tout ce temps, il a été le programme de la navette spatiale musculaire fondamentale. Par conséquent, plus de 135 missions, est tombé sur leurs épaules la tâche de transporter des astronautes et des dizaines de milliards de dollars de recherche et de la machinerie.


Jeudi NASA est revenue à dépoussiérer cette bête pour tester leurs capacités. Pendant 500 secondes, le moteur fusée RS-25 avec de série n ° 2059 a fait rage avec son 12 millions de chevaux dans les essais hangar A1 Depuis roquettes Centre spatial John C. Stennis dans la baie St. Louis, Mississippi, États-Unis.


"Il est un grand moment pour la NASA et Stennis», a déclaré Rick Gilbrech, le directeur de l'établissement. «Nous sommes dans un jour très excitant avec le retour à la longue Voyage espace et la façon de Mars, et ce test a été un grand pas dans cette direction," at-il ajouté.


Et ce n'est pas une simple déclaration d'intention. NASA est prévu que le RS-25 entraîne le noyau du nouveau système de lancement spatial (SLS), navette future transportera les astronautes sur un astéroïde et à Mars.


"Ce test est non seulement une étape importante pour tester les capacités de notre SLS" dit Steve Wofford, moteur de la tête au Marshall Space Flight Center en Alabama, USA .." Il est également grand de penser que le moteur tant d'astronautes a conduit l'espace avant est en cours de préparation à nouveau pour les sortir de là, dans le premier vol habité de la SLS '


Il a à voir avec un répertoire de 16 fusées de vol capable et deux autres pour les essais au sol qui permettront au moins propulser les missions premières SLS. Ce «recyclage» des composants, non seulement dévalorise coûte beaucoup, puisque la production d'une nouvelle fusée à partir de zéro serait prohibitif, mais une garantie énorme pour la NASA: le RS-25 ont déjà prouvé leur fiabilité dans 135 missions .


Depuis lors, ces roquettes ont été cinq grands procédés d'amélioration. A cette dernière occasion, ils ont intégré un nouveau système de commande, quelque chose comme un cerveau pour diriger le processus délicat de brûler l'injection de carburant. Il est prévu que dans les mois qui ont suivi ces tests continuent.


En outre, la NASA prépare le test hangar B2 Depuis Stennis pour tester la phase centrale de la SLS à utiliser dans la première mission de vol de navette. Dans ce test, l'exploration-1 Mission, une partie des futurs engins spatiaux se joindra à quatre RS-25 roquettes qui entrent en contact à la fois.


RS-25, la bête rugissante


Même si une voiture de Formule 1 peut atteindre des vitesses de plus de 400 kilomètres par heure, la NASA espère que le SLS atteint une vitesse maximale de 36,456 kilomètres par heure. Le défi de cette machine sera l'un des esprits humains les plus difficiles laissent derrière la gravité et les instruments de la Terre et de mettre les hommes dans l'espace.


Comme Martin Burkey, de l'équipe du programme SLS explique, pour obtenir ce succès la fusée RS-25 doit mélanger propergols refroidi à 250 degrés en dessous de zéro (donc au cours des blocs de glace d'allumage provenant de moteurs) et faire brûler à 3.300 degrés. En outre, pour générer une impulsion si brutale, il est nécessaire que le débit de carburant est très élevé: peut vider une piscine familiale dans une minute. En conséquence, chaque moteur serait suffisant pour pousser 10 portaavioones par l'océan à une vitesse de 40 kilomètres par heure puissance.


Lorsque la phase d'essai au sol est terminé, il est prévu de commencer au vol habité en 2018, avec le RS-25 chargement de la SLS et le vaisseau spatial Orion autour de la lune. Si tout va bien, alors ils commencent les vols habités, et le dernier voyage vers Mars seraient lancés en 2030.




En galego


El é chamado RS-25 e, aínda que foi deseñado na década dos setenta, aínda goza dun estado impecable de saúde. En todo este tempo foi o Space Shuttle Program muscular fundamental. Polo tanto, máis de 135 misións, caeu sobre os seus ombreiros a tarefa de levar astronautas e decenas de millóns de dólares e máquinas de procura. (Video dunha proba do RS-25 de agosto de 2015).
Xoves NASA volveu sacar o po esta besta para probar as súas capacidades. Por 500 segundos, o motor RS-25 foguete con número de serie 2059 foi trabada con seus 12 millóns de cabalos de potencia na A1 hangar Testing Desde foguetes John C. Stennis Space Center en Bay Louis, Missouri, Estados Unidos.


E non é unha mera declaración de intencións. NASA se espera que o RS-25 dirixe o núcleo do novo Sistema de Lanzamento Espacial (SLS), shuttle futuro vai levar astronautas para un asteroide ea Marte.
"Esta proba non é un paso importante para probar as capacidades do noso SLS", dixo Steve Wofford, motor cabeza no Marshall Space Flight Center, en Alabama, Estados Unidos .. "Tamén é óptimo para pensar que o motor tantos astronautas levou o espazo antes está a ser preparado de novo para tiralos alí no primeiro voo tripulado do SLS '.


Conta cun repertorio de 16 foguetes de voo capaz e dous para probas en solo que permitirá que polo menos impulsar as primeiras misións SLS. Este "reciclaxe" de compoñentes, non só abarata os custos considerablemente, xa que a produción dun novo foguete desde cero sería prohibitivo caro, pero unha enorme garantía para NASA: o RS-25 xa probaron a súa fiabilidade en 135 misións .

Desde entón, estes foguetes foron cinco procesos de mellora grandes. Na última ocasión, eles incorporaron un novo sistema controlador, algo así como un cerebro para dirixir o delicado proceso de queima de inxección de combustíbel. Espérase que os meses seguintes estas probas continuar.

Ademais, a NASA está a preparar o proba hangar B2 Desde Stennis para probar a fase central do SLS para ser usado na primeira misión de voo de transporte. Nese exame, a Misión de Explotación-1, unha parte da nave espacial futuro ha xuntar-se catro RS-25 foguetes que entran en ignición de cada vez.


RS-25, a besta ruxindo


Mentres que un coche de Fórmula 1 pode acadar velocidades de máis de 400 quilómetros por hora, a NASA espera que o SLS alcanza unha velocidade máxima de 36,456 quilómetros por hora. O reto desta máquina será unha das intelixencias humanas máis difíciles deixar atrás a gravidade e instrumentos da Terra e poñer os homes no espazo.


Como Martin Burkey, o equipo do programa de texto explica, para obter esa conquista o foguete RS-25 debe mesturar propulsores arrefecido a 250 graos baixo cero (de aí durante bloques de xeo de ignición derivados de motores) e facelos queimar a 3.300 graos. Ademais, para xerar un impulso tan brutal que é necesario que o fluxo de combustible é moi alta: podería baleirar unha piscina da familia nun minuto. Como resultado, cada motor sería suficiente para empurrar 10 portaavioones polo océano a unha velocidade de 40 quilómetros por hora do poder.

Cando a fase de proba no chan está rematada, se espera para comezar no voo tripulado en 2018, co RS-25 cargando o SLS ea nave espacial Orión arredor da lúa. Se todo vai ben, logo comezan voos tripulados, ea última viaxe a Marte sería lanzado en 2030.


DIARIO ABC
Lois Cerviño García-4 ESO

En Français: 

Comment une poignée de neurones contrôle la douleur

 Une équipe internationale a identifié, dans le cerveau du rat, 30 neurones (en vert) qui contrôlent la douleur, parmi d’autres neurones (en bleu) qui produisent de l’ocytocine.

Hormone de l’accouchement, de l’allaitement et de l’attachement, mais aussi de l’apaisement de certaines douleurs, l’ocytocine n’en finit pas d’inspirer l’étonnement. En témoignent les subtils mécanismes de son action antidouleur, qui viennent d’être décryptés le 3  mars dans la revue Neuron.

« Nous avons découvert que l’ocytocine peut contrôler la douleur par le biais d’une trentaine de neurones seulement chez le rat ! L’activation de ces seuls neurones suffit pour diminuer de 30 % à 40 % une douleur inflammatoire chez ce rongeur. Qu’un si petit nombre de cellules exerce une telle action physiologique a été une vraie surprise », témoigne Alexandre Charlet, de l’Institut des neurosciences cellulaires et intégratives du CNRS et de l’université de Strasbourg.

Chez l’homme, ces neurones seraient au nombre de quelques centaines. « Cette extrapolation est possible car les circuits nerveux utilisant l’ocytocine sont très conservés entre le rat et notre espèce », ajoute le chercheur, qui a coordonné cette étude internationale, avec le Centre allemand de recherche sur le cancer (DKFZ) d’Heidelberg.

Pour plus d´informations: http://www.lemonde.fr/sciences/article/2016/03/07/comment-une-poignee-de-neurones-controle-la-douleur_4877889_1650684.html

 En galego:

Como un puñado de neuronas controlan a dor

 A hormona do parto, da lactancia materna, do apego, pero tamén do apaciguamento de certa dor. A oxitocina nunca deixa de inspirar asombro. Se testigo dos mecanismos sutiles da súa acción calmante que se descifraron o 3 de marzo na revista Neuron. 

« Descubrimos que a oxitocina pode controlar a dor a través de soamente unhas trinta neuronas nas ratas. A activación de solamente esas neuronas son suficientes para disminuir dun 30% a 40% o dolor inflamatorio neste roedor. Que un pequeno número de células exercera esa acción foi unha sorpresa», di Alexandre Charlet, do instituto de neurociencia celular e integrador do CNRS  da universidade de Estrasburgo.
 
Nos seres humanos, crese que estas neuronas se enumeran en varios centos. «Esta explicación é posible debido a que os circuitos neuronales utilizando oxitocina están moi conservados entre as ratas e a nosa especie», añade o investigador, quen coordinou o estudio internacional co Centro Alemán de Investigacion do Cancro (DKFZ) en Heidelberg.


Por Alba Cebeiro Vigo (4º ESO) 

 

Découverte de la plus lointaine des galaxies

This image shows the position of the most distant galaxy discovered so far within a deep sky Hubble Space Telescope survey called GOODS North (Great Observatories Origins Deep Survey North). The survey field contains tens of thousands of galaxies stretching far back into time.  The remote galaxy GN-z11, shown in the inset, existed only 400 million years after the Big Bang, when the Universe was only 3 percent of its current age. It belongs to the first generation of galaxies in the Universe and its discovery provides new insights into the very early Universe. This is the first time that the distance of an object so far away has been measured from its spectrum, which makes the measurement extremely reliable.  GN-z11 is actually ablaze with bright, young, blue stars but these look red in this image because its light was stretched to longer, redder, wavelengths by the expansion of the Universe.Position de la galaxie GN-z11. © NASA / ESA / P. Oesch (université Yale).
Comme en sport, les records que l'astronomie établit (les trous noirs les plus massifsla galaxie la plus lumineusela plus compacte, etc.) sont faits pour être battus. Cette fois-ci, une équipe internationale vient d'annoncer avoir découvert, à l'aide de deux télescopes spatiaux, Hubble et Spitzer, la galaxie la plus lointaine jamais détectée à ce jour. Elle décrit sa trouvaille dans une étude qui seraprochainement publiée dans l'Astrophysical Journal.
GN-z11, nom de baptême de cette galaxie située dans la constellation de la Grande Ourse, est si loin que l'image que nous voyons d'elle a été émise il y a 13,4 milliards d'années, soit 400 millions d'années seulement après le Big Bang . En effet, comme la lumière se déplace à une vitesse finie, regarder loin revient... à observer le passé. Ainsi, quand vous contemplez l'Etoile polaire, dans la constellation de la Petite Ourse, vous la voyez non pas telle qu'elle est aujourd'hui, mais telle qu'elle était il y a environ quatre siècles. Pour ce qui est de GN-z11, si l'on imagine que l'Univers est un humain de 40 ans, ce que l'on voit dans l'image ci-dessus date de l'époque où il avait un peu plus d'un an...
Pour faire cette découverte, il a fallu pousser Hubble aux limites de ce que sa caméra la plus récente – installée en 2009 lors de la dernière mission d'entretien du télescope spatial – est capable de voir, tout en s'assurant que les données transmises correspondaient à un objet céleste réel et n'étaient pas une sorte de mirage dû à une pollution lumineuse provenant autres galaxies présentes dans le champ de vision mais situées plus près de nous. Au-delà de l'exploit technique, cette découverte lance un certain nombre de questions, voire de défis, aux astrophysiciens. Ainsi, dans le communiqué de presse diffusé par l'Agence spatiale européenne, un des auteurs de l'étude, Marijn Franx, de l'université de Leyde aux Pays-Bas, reconnaît que "la découverte de GN-z11 a été une grosse surprise pour nous, étant donné que nos travaux antérieurs avaient suggéré que des galaxies aussi brillantes ne devaient pas exister si tôt dans la vie de l'Univers"...
GN-z11 ne constitue pas un monstre cosmique. Sa masse est estimée à 1 milliard de fois celle du Soleil, un chiffre à comparer avec les centaines de milliards de masses solaires de la Voie lactée. Elle est aussi 25 fois plus petite que notre galaxie. Néanmoins, sur l'image c'est une galaxie jeune, âgée tout au plus de quelques dizaines de millions d'années, dans laquelle les étoiles naissent à vitesse grand V. Ainsi que le résume un autre des auteurs de l'étude, Garth Illingworth (université de Californie à Santa Cruz), "il est stupéfiant qu'une galaxie si massive ait existé seulement 200 à 300 millions d'années après la formation des premières étoiles. Il faut vraiment une croissance rapide et une production d'étoiles sur un rythme élevé pour avoir formé si tôt une galaxie d'un milliard de masses solaires."
"La découverte de GN-z11 nous montre que notre connaissance du jeune Univers est encore très limitée, concède avec modestie Ivo Labbé, lui aussi de l'université de Leyde. Comment GN-z11 s'est formée reste quelque peu mystérieux pour l'instant."Dans cette dernière phrase, ce qui compte le plus est le "pour l'instant". Depuis plusieurs années, la découverte de galaxies de plus en plus lointaines, qui sont donc nées de plus en plus près du Big Bang, est un casse-tête pour les astrophysiciens et ceux-ci comptent bien le résoudre grâce au successeur de Hubble, le télescope spatial James Webb (JWST, d'après son nom anglais), un géant de plus de 6 tonnes, dont le miroir collecteur de lumière mesurera 6,5 mètres de diamètre contre 2,4 pour Hubble. Cet instrument, dont les coûts de fabrication se sont envolés au fil des années, devrait être lancé dans l'espace en 2018 et parmi ses objectifs figure une remontée plus avant dans le temps : le JWST ira chasser les premières galaxies voire les premières étoiles de l'histoire de l'Univers.


Descubierta la galaxia más lejana:

Como en deporte, los records que establece la astronomía( los agujeros negros más masivos, las galaxias más luminosas, las más compactas, etc) están hechos para ser rotos.
Esta vez un equipo internacional ha anunciado haber descubierto, utilizando dos telecopios espaciales, Hubbert y Spitzer, la galaxia más distante detectada hasta la fecha. Describieron su hallazgo en un estudio que será publicado en la revista "Astrophysical Journal".
GN-z11 el nombre de esta galaxia en la constelación de la Osa Mayor, la imagen que vemos ahora de ella se emitió hace 13,4 millones de años, 400 millones de años después del Big Bang. De hecho, ya que la luz viaja a una velocidad infinita, mirando hacia atrás ... para observar el pasado. Así que cuando contemplas la estrella polar en la constelación de la Osa Menor, que no se ve como lo es hoy, pero ya que estaba allí hace cuatro siglos. En términos de GN-z11, si imaginamos que el universo es un ser humano de 40 años, lo que vemos en la imagen de arriba de la época es que tenía un poco más de un año...
Para hacer este descubrimiento, el Hubble tuvo que empujar los límites de lo que su última cámara - instalado en 2009, cuando se realizó la última misión de mantenimiento del telescopio espacial - es capaz de ver, al tiempo que garantiza que los datos transmitidos corresponden a un objeto celeste real y no eran una especie de espejismo debido a la contaminación lumínica de otras galaxias presentes en el campo de visión, pero situadas más cerca de nosotros. Más allá del logro técnico, este descubrimiento es el lanzamiento de una serie de problemas o desafíos, para los astrofísicos. Por lo tanto, en el comunicado de prensa emitido por la Agencia Espacial Europea, uno de los autores del estudio, Marijn Franx, de la Universidad de Leiden en los Países Bajos, reconoce que "el descubrimiento de GN-z11 fue un gran sorpresa para nosotros, ya que nuestro trabajo previo había sugerido que estas galaxias brillantes no deben exisitir tan pronto en la vida del Universo "...
GN-z11 no es un monstruo cósmico. Su masa se estima en mil millones de veces la del Sol, una cifra que se compara con los cientos de miles de millones de masas solares de la Vía Láctea. También es 25 veces más pequeña que nuestra galaxia. Sin embargo, en la imagen es una galaxia joven, de una edad como máximo de unas pocas decenas de millones de años, en el que las estrellas nacen a la velocidad de la luz. Como resume otro de los autores del estudio, Garth Illingworth (Universidad de California, Santa Cruz), "es asombroso que una galaxia masiva que existe hace unos 200-300 millones de años después de la formación de las primeras estrellas , tenga un  rápido crecimiento y una producción de estrellas a un ritmo que las hace formarse en una galaxia de mil millones de masas solares ".
"El descubrimiento de GN-z11 muestra que nuestra comprensión del universo es todavía muy limitada, reconoce con modestia Ivo Labbé, también de la Universidad de Leiden. Cómo GN-z11 se formó sigue siendo algo misterioso por ahora ". En esta última frase, lo que más importa es el" por ahora ". Desde hace varios años, el descubrimiento de las galaxias más distantes, que están surgiendo más y más cerca del Big Bang, es un rompecabezas para los astrofísicos que han resuelto bien gracias al sucesor del Hubble, el telescopio espacial James Webb (JWST, según su nombre Inglés), un gigante de más de 6 toneladas, que incluye un  espejo colector de luz que mide 6,5 metros de diámetro contra 2.4 del Hubble. Este instrumento, cuyos costes de producción se han disparado en los últimos años, debe ser lanzado al espacio en 2018 y entre sus objetivos : el JWST perseguirá las primeras galaxias y hasta las primeras estrellas de la historia del universo. 
                                                                                Sara Brea Seoane 4º ESO

ONDES GRAVITACIONELLES, LA NOUVELLE LUNETTE DE GALILÉE

Une équipe internationale d’astrophysiciens a détecté les ondes gravitationnelles prédites par Einstein il y a un siècle. C’est une page de l’astronomie inaugurée par Galilée au XVIIe siècle qui se tourne. Récit d’une découverte historique.

Représentation des ondes gravitationnelles sur un écran, à l’Institut Einstein, à Hanovre.

Que faisiez-vous le 14 septembre 2015 à 11h 50mn et 45s, heure de Paris ? Si vous ne vous en rappelez pas, le cosmos, lui s’en souvient. À cet instant très précis, à 1,3 milliard d’années-lumière de la Terre, quelque part dans l’hémisphère Sud, deux corps massifs, deux trous noirs, sont entrés en collision, donnant ainsi naissance à des ondes gravitationnelles prédites par Albert Einstein il y a juste un siècle, à ces fameuses “rides de l'espace-temps” qui sont arrivées jusqu’à nous, bien que nous ne les ayons pas ressenties.

Cinq mois plus tard, elles seront authentifiées. « Nous avons détecté les ondes gravitationnelles. Je suis si heureux… » Ainsi s’est exprimé, sous les applaudissements, jeudi 11 février à Washington, - David Reitz, physicien au Caltech et directeur de l’observatoire Ligo (Laser interferometer gravitational-wave observatory), lors d’une conférence de presse retransmise dans le monde entier.


Deux trous noirs qui fusionnent:
Que s’est-il passé au juste ? Un énorme carambolage cosmique, une collision entre deux poids lourds de la voûte céleste. « Deux petits trous noirs d’un diamètre de seulement 150 km, de respectivement 29 et 36 masses solaires chacun, qui tournoyaient l’un autour de l’autre, ont fini par se rapprocher jusqu’à fusionner pour donner un gros trou noir d’environ 60 masses solaires, l’excédent ayant été, selon la célèbre formule d’Einstein E = mc2, converti en ondes gravitationnelles », explique Benoît Mours, physicien au CNRS et responsable scientifique français pour le détecteur franco-italien Virgo.


Un rayon laser à deux bras:
Puisque les ondes gravitationnelles sont des tressautements extrêmement fins de l’espace-temps, comment peut-on les détecter sur notre planète ? En faisant appel à la lumière laser, connue pour être très sensible à la moindre vibration.
Pour cela les chercheurs ont imaginé une curieuse construction dotée de deux « bras » perpendiculaires et longs de 4km, des interféromètres. Le rayon laser, séparé en deux bras, est contraint par un jeu de miroirs à effectuer des allers-retours, avant d’être recombiné dans un capteur.

Si les deux bras ne se re-synchronisent pas parfaitement, c’est qu’ils ont subi une déformation due à une onde gravitationnelle. Méthode terriblement efficace, « on peut ainsi mesurer une différence de l’ordre d’un milliardième de la taille d’un atome, soit 10 éle´ve à -19m », rappelle Benoît Mours.


Lire aussi:
 Prédites par Einstein, les ondes gravitacionelles existent


Une grand explication: https://www.youtube.com/watch?v=1WKWEbmaN30 (Français)

En galego:


ONDAS GRAVITACIONAIS, O NOVO TELESCOPIO DE GALILEO
Un equipo internacional de astrofísicos detectaron as ondas gravitacionais preditas por Einstein hai un século. É unha páxina de astronomía inaugurada por Galileo no século XVII a que nos fala dun descubrimento histórico.


Que facía vostede o 14 de setembro do 2015 ás 11h 50min e 45s, hora de Paris? Se vostede non se lembra, o cosmos, lembrarase. Nese instante tan preciso, a 1,3 mil millóns de anos-luz da Terra, nagunha parte do hemisferio sur, dous corpos masivos, dous corpos moi oscuros, entraron en colisión, dando así lugar ás ondas gravitacionais preditas por Albert Einstein hai un século, estas famosas “arrugas do espazo tempo” que chegaron ata nos, ainda que nos non has percibimos.

Cinco anos máis tarde, serán autentificadas. “ Detectamos as ondas gravitacionais. Son tan feliz...” Así expresouse, entre todos os aplausos, o xoves 11 de febreiro en Washington, David Reitz, científico no Caltech e director do obsevatorio Ligo (Observatorio por láser de interferecias das ondas gravitacionais), durante unha conferencia retransmitida en todo o mundo.


Dous buratos negros que se fusionan:
Que pasou exactamente? Un enorme choque en cadea cósmico, unha colision entre dous vehículos pesados da bóveda celeste. “ Dous pequenos buratos negros con soamente 150km de diámetro, de respectivamente 29 e 36 masas solares cada un, acabaron por acercarse ataque se arremolinaron un no outro, e finalmente, se fusionaron ata dar un gran burato negro de aproximadamente 60 masas solares, no que o excedente, según a célebre fórmula de Einstein E = mc2, converteuse en ondas gravitacionais”, expica Benoît Mours, científico no CNRS e científico francés responsable del detector franco-italiano Virgo.


Un raio láser con dous brazos:
Xa que as ondas gravitacionais son uns temblores estremadamente finos no espazo-tempo, como podemos detectalos no noso planeta? Acudindo á luz láser, conocida por ser moi sensible á menor vibración.
Para esto os investigadores imaxinamos unha construcción dotada de dous “brazos” perpendiculares e dun largo de 4km, de insterferómenos. O raio láser, separado en dous brazos, é forzado por un xogo de espellos a facer idas e voltas, antes de recombinarse nun captador.

Se ambos os brazos non se resincronizan perfectamente, débese a que sufriron unha deformación devido a unha onda gravitacional. Método terriblemente eficaz, “podemos metir unha diferencia dunha mil millonésima parte do tamaño dun átomo, é dicir, 10 elevado a -19 metros”, recorda Benoît Mours.


Unha gran explicación: https://www.youtube.com/watch?v=tKiHiQRBFYU  (Español)

Sacado de: La Croix


Laura Vázquez Vieites  4º ESO

jueves, 10 de marzo de 2016

Mission européenne Exomars 2016 : le site a été trouvé par des chercheurs lyonnais


FRANÇAIS:
Les scientifiques français participent aussi à la recherche de la vie sur Mars. Des chercheurs lyonnais ont préparé l'arrivée du rover de la mission européenne ExoMars, en lui choisissant un site de fouilles prometteur.
A l'issue d'une «compétition féroce», le lieu d'atterrissage repéré par une équipe du Laboratoire de géologie de l'université Claude Bernard (rattaché au CNRS), a été retenu par l'Agence spatiale européenne (ESA) en octobre dernier. «Ça a été un vrai challenge car le cahier des charges de l'Agence spatiale européenne était très contraignant», explique à l'AFP Cathy Quantin-Nataf, la géologue de 38 ans qui a piloté les recherches lyonnaises. Sept autres équipes (en Italie, en Espagne, en Grande-Bretagne et en France) avaient répondu, début 2014, à un appel à projets pour trouver le meilleur site d'atterrissage pour ExoMars. «Il fallait trouver un endroit plat, sur 120 kilomètres, et bas en altitude pour permettre la décélération de la plateforme transportant le rover, raconte la scientifique. Et en termes d'objectifs scientifiques, comme ExoMars veut trouver des traces de vie passée en forant, il fallait des roches anciennes susceptibles de contenir des traces d'eau». Le site repéré par l'équipe lyonnaise, Oxia Planum, est «plein d'argile».  
C'est la première fois dans l'exploration martienne, relève Mme Quantin-Nataf, qu'un robot va forer aussi profond. Jusqu'à deux mètres, au-delà d'une ancienne couche de lave, aujourd'hui disparue, qui a pu protéger les dépôts minéraux du rayonnement cosmique, préservant ainsi une possible vie microbienne. «Une dizaine» d'échantillons de sol seront prélevés au maximum puis analysés par le rover à six roues européen, dont la mission doit durer deux ans. 
Initiative de l'ESA, en partenariat avec l'agence spatiale russe Roskosmos,ExoMars 2016 comprend une sonde détectrice de traces de gaz baptisée TGO (Trace Gaz Orbiter) et un atterrisseur test sur Mars, nommé Schiaparelli. C'est une fusée russe Proton qui est chargée de lancer le couple depuis Baïkonour. Après un voyage de sept mois, l'atterrisseur se séparera de la sonde pour se poser sur la planète rouge le 19 octobre.


 Le site recèle des argiles vieilles de plus de quatre milliards d'années. Une époque où Mars, recouverte de mers et de lacs, devait ressembler à la Terre. 


ESPAÑOL:

Científicos franceses también están involucrados en la búsqueda de vida en Marte. Los investigadores de Lyon preparan la llegada de la misión europea ExoMars, la elección de un lugar de excavación prometedor.
Al final de una "fuerte competencia", el lugar de aterrizaje identificado por un equipo de geología de Laboratorio de la Universidad "Claude Bernard" (que se adjunta al CNRS), ha sido seleccionada por la Agencia Espacial Europea (ESA) octubre. "Fue un verdadero desafío debido a las especificaciones de la Agencia Espacial Europea fue muy exigente", dice a la AFP Cathy Quantin-Nataf, el geólogo de 38 años que dirigió la investigación de Lyon. otros siete equipos (Italia, España, Gran Bretaña y Francia) habían respondido a principios de 2014, una convocatoria de proyectos para encontrar el mejor sitio de aterrizaje para ExoMars. "Tuvimos que encontrar un área plana, de 120 kilómetros, y una baja altura para que la desaceleración de la plataforma que lleva el vehículo, dice el científico. Y en términos de objetivos científicos, como ExoMars encontrar rastros de vida pasada por la perforación, era rocas antiguas que pueden contener trazos de agua ". El sitio identificado por el equipo de Lyon, Oxia Planum, está "lleno de barro."
Esta es la primera vez en la exploración de Marte, toma nota de la Sra Quantin-Nataf, un robot perforará tan profundo. Hasta dos metros, más allá de una vieja capa de lava, hoy perdido, que podría proteger los depósitos minerales de la radiación cósmica, preservando así una posible vida microbiana. "Ten" de las muestras de suelo se tomarán en el máximo y después se analizarán por el rover europeo de seis ruedas , cuya misión es la de una duración de dos años.
iniciativa de la ESA en colaboración con la agencia espacial rusa Roskosmos, ExoMars 2016 incluye una sonda de sensor de gases traza llamados TGO (Trace Gas Orbiter) y probar un módulo de aterrizaje en Marte, llamado Schiaparelli. Se trata de un cohete ruso "Protón", que es responsable del lanzamiento de la pareja desde Baikonur. Después de un viaje de siete meses, el aterrizador se separará de la sonda a la tierra en el planeta rojo el 19 de octubre.
 El sitio contiene antiguas arcillas de más de cuatro mil millones de años.De una época en la que Marte, cubierto de mares y lagos, tenía un  parecido a la Tierra.

Fuente

miércoles, 9 de marzo de 2016

Le meilleur joueur mondial de go battu par une intelligence artificielle dans un match symbolique



Lee Sedol, à droite, lors du premier match l'opposant à Alphago, le 9 mars.

Le Sud-Coréen Lee Sedol, numéro trois mondial au classement officiel mais souvent considéré comme le meilleur joueur au monde, a concédé sa défaite, ce mercredi, face au programme Alphago conçu par Deep Mind (Google), au terme d’une partie serrée qui inaugurait une série de cinq matches prévus.

Contrairement à la série de matches remportée cinq à zéro par Alphago contre Fan Hui, l’un des meilleurs joueurs européens, en janvier, ce premier affrontement a été extrêment serré. Quelques dizaines de minutes avant la fin de la partie, le commentateur Michael Redmond (joueur professionnel, 9e dan), estimait que la partie pouvait se jouer à « un point ou deux » - un différentiel ridiculement faible dans une partie de go. M. Sedol a finalement reconnu sa défaite, malgré une position plutôt favorable sur le plateau, mais qui ne lui permettait pas de l’emporter aux points.

Lee Sedol, connu pour son style de jeu agressif, a trouvé face à lui une intelligence artificielle qui a également joué la partie de manière très volontaire. En début de partie, le champion coréen avait opté pour des coups peu orthodoxes - une manière classique de destabiliser les programmes de jeu, déjà utilisée en 1996 par le champion d’échecs Gary Kasparov avec un certain succès dans sa série de matches mythiques contre Deep Blue.

Le go est le dernier jeu « classique » dans lequel l’homme conserve un avantage net sur la machine - la taille du plateau, et le très grand nombre de mouvements possibles à chaque tour, donnent un avantage aux joueurs dotés de grandes capacités d’abstraction et de réflexion stratégique.

L’intelligence artificielle, malgré ses progrès fulgurants ces dernières années, est surtout efficace au niveau tactique, lorsque le nombre de choix est suffisament réduit pour lui permettre d’explorer chaque « branche » de décisions en profondeur. Un avantage qui favorise normalement la machine en fin de partie, lorsque le plateau est rempli 
et que les choix possibles sont plus limités - mais alors que les deux compétiteurs étaient restés très proches en termes de temps utilisé pour réfléchir durant les deux premiers tiers de la partie, Alphago a pris nettement plus de temps que son adversaire pour calculer ses coups dans le dernier tiers, laissant près de 25 minutes d’avance à Lee Sedol.



 Deep learning

Si Alphago a obtenu jusqu’à présent de bien meilleurs résultats que ses prédécesseurs, c’est en bonne partie parce qu’elle fait appel à un mélange de technologies, dont le Deep learning - une technique qui « imite » la manière dont les humains apprennent de leurs erreurs. Le logiciel a analysé des centaines de millions de parties pour « apprendre » à repérer les choix qui s’avèrent payants sur le long terme, et pouvoir ainsi faire le tri plus facilement dans les décisions possibles, comme le font les joueurs humains.


A terme, il fait peu de doute que l’intelligence artificielle parviendra à battre régulièrement les meilleurs joueurs humains - M. Sedol, pourtant coutumier des sorties bravaches, l’a lui-même reconnu. Son premier match contre Alphago a d’ores et déjà démontré, avant même la fin de la série de cinq parties prévues, que le logiciel conçu par les équipes de Deep Mind est capable de jouer au niveau des tout meilleurs joueurs mondiaux.

Le second match est prévu ce jeudi 10, à partir de cinq heures du matin heure de Paris, et sera diffusé en direct sur YouTube.


El mejor jugador del mundo de go batido por una inteligencia artificial en un partido simbolico:
Corea del Sur, Lee Se-dol, número tres del ranking en su universidad, pero considerado como el mejor jugador del mundo, reconoció la derrota el miércoles, frente a Alphago, programa diseñado por Google despues de un partido aprentado en la inauguracion que constaba de una serie de cinco partidos.
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A diferencia de la serie de partidos ganados por cineco cero Alpha contra Fan Hui, uno de los mejores jugadores europeos de enero. El primer enfrentamiento fué muy apretado. Unos diez minutos antes del final del juego, el comentarista Michael Redmond, consideró que el partido se podría jugar en "un punto o dos"- un diferencial ridiculamente bajo en un juego de go.El señor WKN finalmente reconoció la derrota, a pesar de una posición bastante favorable en el tablero, pero eso no le permitió ganar por puntos.

Lee Se-dol, conocido por su estilo de juego agresivo, se encontró frente a una inteligencia artificial que también interpretó el papel de una manera muy deliberada. Al comienzo del juego, el campeón de Corea optó por tiros poco ortodoxos - una forma clásica de desestabilizar a los programas de juegos que ya se utilizan en 1996 por el campeón de ajedrez Gary Kasparov con cierto éxito en su serie de partidos legendarios contra Deep azul.


Go es el último juego "clásico" en el que el hombre mantiene una clara ventaja sobre la máquina - el tamaño de la placa, y el gran número de posibles movimientos a cada paso, dar una ventaja a los jugadores con grandes capacidades la abstracción y el pensamiento estratégico.


La inteligencia artificial, a pesar de su progreso deslumbrante en los últimos años, es particularmente eficaz en el nivel táctico, donde el número de opciones se reduce lo suficiente para que permita explorar cada una "rama" de las decisiones de profundidad. Una de las ventajas que normalmente favorece el extremo de la máquina de juego cuando se llena el plato 
y que las opciones son más limitadas - pero como los dos competidores se mantuvo muy cerca en términos de tiempo utilizadas para pensar en los dos primeros tercios de la parte Alphago tomó mucho más tiempo que su oponente para el cálculo de sus tiros en el último tercio, dejando cerca de 25 minutos de antelación a Lee se-dol.



"El aprendizaje profundo":

Si Alphago tiene ahora mucho mejor que sus predecesores, esto es en gran parte debido a que utiliza una combinación de tecnologías , incluyendo el aprendizaje profundo - una técnica que "imita" la forma en que los seres humanos aprender de sus errores. El software ha analizado cientos de millones de piezas a "aprender" a identificarlas opciones están dando sus frutos en el largo plazo, y puede por lo tanto hacer que la clasificación más fácil en las decisiones posibles, al igual que los jugadores humanos

En última instancia, no hay duda de que la inteligencia artificial se las arreglará para vencer a regular los mejores jugadores humanos - Sr. Sedol, sin embargo bravuconería habitual de salidas, él mismo ha reconocido. Su primer partido contra Alphago ya se ha demostrado, incluso antes del final de la serie de cinco partes previstas, el software diseñado por el equipo mente profunda es capaz de jugar en todos los mejores jugadores del mundo.

El segundo partido está programado el jueves 10, a partir de cinco de la tarde hora de París , y será transmitido en vivo por YouTube.



Samuel Ventosa Cela 4º E.S.O. A