BIENVENUS À CONSCIENCE

Bonjour à toutes et à tous.
Ce blog est un lieu de rencontre pour les étudiants de secondaire, de la section bilingue - matière physique-chimie- de l´
IES de Sar de Santiago de Compostela (Galice, Espagne).Un espace dans lequel les élèves de 3º et 4º de la ESO commentent des nouvelles en relation avec la science qu´ils trouvent en langue française.
Tous les commentaires et collaborations sont les bienvenus.



Ola a todas e todos.

Este Blogue é un lugar de encontro para os estudantes de secundaria da Sección Bilingüe en Francés, na materia de Física e Química do IES de Sar de Santiago de Compostela (Galicia).

Nel as alumnas e alumnos de 3º e 4º da ESO comentan certas novas relacionadas coa ciencia que atopan en lingua francesa.

Todos os comentarios e colaboracións son moi benvidos.


viernes, 31 de octubre de 2014

La formation de planètes dans un jeune système stellaire multiple

Des observations récentes montrent comment des planètes pourraient se former autour des étoiles doubles ou multiples, ce qui multiplierait significativement le nombre potentiel d’exoplanètes dans notre galaxie.

La recherche de planètes en orbite autour d’autres étoiles que le Soleil est une activité encore récente qui, dans un premier temps, s’est focalisée sur les étoiles simples. Découvrir des exoplanètes autour d’étoiles doubles ou multiples semblait plus aléatoire, car on estimait que les interactions gravitationnelles des astres pouvaient empêcher la formation des disques protoplanétaires ou perturber le lent processus d’accrétion qui permet la formation des planètes en leur sein. Puis des exoplanètes géantes ont été découvertes autour de systèmes stellaires binaires et des chercheurs ont suggéré que, dans le cas de systèmes stellaires doubles ou multiples, il était envisageable qu’un disque protoplanétaire se forme autour de l’ensemble du système, mais également autour de chaque étoile. Le problème était cependant que les mouvements des étoiles créent un vide autour d’elles et que la quantité de matière disponible dans le disque ceignant chaque étoile semble insuffisante pour former des planètes.


Un article publié aujourd’hui dans la revue Nature par une équipe internationale dirigée par Anne Dutrey (université de Bordeaux & CNRS UMR 5804) expose les derniers résultats des observations du système stellaire GG Tau-A avec les antennes d’ALMA (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array) au Chili. Ces chercheurs montrent que, dans le cas de ce système multiple, de la matière provenant d’un vaste disque externe alimente au moins un disque interne. Il faut préciser que GG Tau-A appartient à un système stellaire complexe baptisé GG Tau, qui rassemble deux paires d’étoiles, et que des observations récentes ont permis de découvrir que l’une des deux étoiles de GG Tau-A est, elle aussi, une étoile double ; ainsi, dans l’état actuel de nos connaissances, GG Tau est un système stellaire quintuple. Ces étoiles sont toutes moins massives que notre Soleil et elles se situent à près de 450 années-lumière de nous, dans la constellation du Taureau, ce qui est relativement proche à l’échelle de notre environnement galactique. Ce sont des étoiles très jeunes, à peine 1 million d’années probablement, qui viennent de se former et qui sont encore entourées par les restes de la nébuleuse qui leur a donné naissance. Dans le cas de GG Tau-A, ces restes ont formé un disque qui entoure les trois étoiles en interaction gravitationnelle. Des planètes sont peut-être en cours de formation dans ce disque, mais la durée du processus d’accrétion d’une planète étant estimée à quelques millions d’années, il est encore trop tôt pour avoir le résultat des courses, même si des observations récentes semblent plaider en faveur de l'existence d'une planète géante, plusieurs fois la masse de Jupiter, à près de 250 ua du trio !

Quelques chiffres pour se représenter l’ensemble de la scèneL’étoile principale GG Tau-Aa se situe à près de 35 unités astronomiques (ua) de la paire GG Tau-Ab1 et Ab2 ; 1 ua représente la distance moyenne de la Terre au Soleil – soit 150 millions de kilomètres environ – et, dans le Système solaire, Pluton circule à quelque 39 ua du Soleil. La distance entre les étoiles Ab1 et Ab2 a récemment été estimée à 4,5 ua, cela signifie que si l’on plaçait Ab1 au centre du Système solaire, Ab2 serait un peu plus proche que Jupiter. Le bord interne de l’anneau se situe à près de 180 ua du trio stellaire. Sa portion la plus dense mesure 80 ua de largeur et elle contient 80 % de la masse totale ; les 20 % qui restent sont dispersés jusqu’à plus de 800 ua.




La formación de planetas en el joven sistema estelar múltiple.

Observaciones recientes muestran cómo se pueden formar planetas alrededor de estrellas dobles o múltiples, multiplicar significativamente el número potencial de exoplanetas en nuestra galaxia.

La búsqueda de planetas que orbitan alrededor de estrellas distintas del Sol es una actividad relativamente reciente, en un primer momento, se centró en estrellas individuales. Descubrir exoplanetas alrededor de estrellas dobles o múltiples parecían más al azar, ya que se consideró que las interacciones gravitacionales de estrellas podrían prevenir la formación de discos protoplanetarios o interrumpir el proceso de acreción lenta que permite la formación de planetas dentro de ellos. Entonces los exoplanetas gigantes se han descubierto alrededor de sistemas binarios de estrellas y los investigadores han sugerido que, en el caso de los sistemas de estrellas dobles o múltiples, es posible que se forme una disco protoplanetario alrededor de todo el sistema, sino también en torno a cada estrella.Sin embargo, el problema era que los movimientos de las estrellas crean un vacío alrededor de ellos y la cantidad de material disponible en el disco que rodea cada estrella parece insuficiente para formar planetas.


Un artículo publicado hoy en la revista Naturaleza por un equipo internacional liderado por Anne Dutrey (Universidad de Burdeos y el CNRS UMR 5804) se describen los últimos resultados de las observaciones de la GG sistema estelar Tau-A con el ALMA antenas de Milimétrico (Atacama Large / submilimétrico) en Chile. Estos investigadores indican que en el caso del sistema múltiple, el material de una gran cantidad de suministros de unidades externas al menos un disco interior. Cabe señalar que GG Tau-A pertenece a un sistema estelar complejo llamado GG Tau, que incluye dos pares de estrellas, y las observaciones recientes han revelado que una de las dos estrellas GG Tau-A, También una estrella doble;por lo tanto, en el estado actual de nuestros conocimientos, GG Tau es un sistema estelar quíntuple. Todas estas estrellas son menos masiva que nuestro Sol, y son cerca de 450 años luz de nosotros en la constelación de Tauro, que está relativamente cerca de la escala de nuestro entorno galáctico. Estas son estrellas muy jóvenes, sólo 1.000.000 años, probablemente procedentes de la formación y todavía están rodeados por los restos de la nebulosa que dio a luz. En el caso de GG Tau A, los restos han formado un disco alrededor de las tres estrellas en la interacción gravitatoria. Los planetas pueden estar en formación en este disco, pero la duración del proceso de acreción se estima en unos pocos millones de años del planeta, todavía es demasiado pronto para que los resultados de las carreras, aunque Observaciones recientes parecen favorecer la existencia de un planeta gigante varias veces la masa de Júpiter, alrededor de 250 UA del trío!

Algunas cifras para representar toda la escenaLa estrella principal GG Tau-Aa se encuentra a unos 35 unidades astronómicas (UA) del par GG Tau-Ab1 y Ab2; 1 UA es la distancia media entre la Tierra y el Sol - es unos 150 millones de Kilómetros - y en el sistema solar, Plutón viaja alrededor del 39 UA del sol.La distancia entre las estrellas Ab1 y Ab2 se estimó recientemente en 4.5 UA, esto significa que si usted pone Ab1 en el centro del sistema solar, Ab2 sería un poco más cerca que Júpiter. El borde interior del anillo se encuentra a unos 180 UA del trío de estrellas. Su medición y la anchura ua porción más densa 80 contiene 80% de la masa total; el 20% restante se dispersa a más de 800 UA.


Santiago Esparis Matanza 4rto ESO A

lunes, 27 de octubre de 2014

Les frémissements de la matière noir



Dans le palmarès des mystères scientifiques, celui-là tient une place de choix. Mesuré au poids, c’est même assurément la première. Et pour cause : la « matière noire », puisque c’est d’elle qu’il s’agit, représente rien de moins que 80 % de toute la masse de l’Univers. Tout ce que nous pouvons toucher, regarder, détecter, tout ce que nous connaissons – du premier proton à la dernière galaxie – ne représente que 20 % de la matière totale. Le reste est… un mystère. Depuis trente ans, les scientifiques s’affrontent à coups de théories, multiplient les expériences pour tenter de mettre en évidence cette matière noire. En vain. Aussi, chaque grain de lumière dans ce ciel obscur prend un éclat particulier.

Anomalies venues du Soleil

Et, depuis huit mois, le milieu est en ébullition. En février, deux équipes d’astrophysiciens ont détecté, dans des données satellitaires, des signes qui pourraient témoigner de la présence de matière noire. Le 20 octobre, une troisième équipe, britannique celle-ci, a publié, dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, un article faisant état d’anomalies venues du Soleil, là encore attribuées à la mystérieuse matière. Deux théories distinctes, mettant en jeu différentes particules, repérées dans différentes zones de l’Univers… et à peu près incompatibles. « Il faut évidemment être très prudent, attendre des confirmations, mais tout le monde est excité », admet Yannick Mellier, de l’Institut d’astrophysique de Paris.


Las agitaciones de la materia oscura

En el ránking de misterios científicos,este ocupa un lugar especial. De tanto peso que es seguramente el primero. Y con razón: la "materia oscura", ya que de eso se trata, representa nada menos que el 80% de la masa del universo. Todo lo que podemos tocar, mirar, detectar, todo lo que conocemos - desde el primer protón a la última galaxia - no representa más que el 20% de la masa total. El resto es...un misterio. Después de 30 años, los científicos se enfrentan a muchas teorías,multiplican los experimentos para intentar poner en evidencia esta materia oscura. En vano. También, cada pizca de luz en el cielo tiene un brillo particular.


Anomalías venidas del Sol

Y, ocho meses después, el centro está en ebullición. En febrero, dos equipos de astrofísicos detectaron, en unos satélites, signos que podrían demostrar la presencia de materia osucra. El 20 de octubre,un tercer equipo, éste británico, publicó, en las Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, un artículo informando anomalías venidas del Sol, todavía atribuídas a la misteriosa materia. Dos teorías distintas,poniendo en juego diferentes partículas, localizadas en diferentes zonas del universo... y más o menos incompatibles. "Evidentemente hace falta ser muy prudentes, esperar confirmaciones, pero todo el mundo está emocionado" admite Yannick Mellier, del Instituto de Astrofísica de París.

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Juan Martín Romero Fiorotto, 4º ESO A

jueves, 23 de octubre de 2014

Le CERN fête ses 60 ans


Le CERN, l’Organisation européenne pour la Recherche nucléaire, souffle aujourd’hui (29/09/14) ses 60 bougies. Fondé en 1954, le CERN est aujourd’hui le plus grand laboratoire de physique des particules du monde et un exemple éclatant de collaboration internationale, qui rassemble des scientifiques de près de 100 nationalités. Les origines du CERN remontent à la fin des années 1940. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un petit groupe de scientifiques et d'administrateurs publics visionnaires, des deux côtés de l’Atlantique, ont vu en la recherche fondamentale une voie possible pour reconstruire le continent et favoriser la paix dans une région troublée. C’est ainsi que, le 29 septembre 1954, le CERN a vu le jour, investi d’une double mission : produire une science d’excellence et rassembler les nations. Ce modèle de collaboration , et il s'est étendu à tous les continents.

 « Au fil du temps, le CERN est devenu le laboratoire de physique des particules le plus éminent du monde, et il n’a eu de cesse de viser, et d’atteindre, l’excellence », a déclaré la Présidente du Conseil du CERN Agnieszka Zalewska.


Présidente du Conseil du CERN Agnieszka Zalewska

O CERN FAI OS SEUS 60 ANOS

O CERN, a Organización europea para a Investigación nuclear, sopla hoxe (29/09/14) sesenta velas. Fundado en 1954, o CERN é actualmente o maior laboratorio de física de partículas do mundo e un exemplo brillante de colaboración internacional, que reúne científicos de preto de 100 nacionalidades. As orixes do CERN remóntanse a finais dos anos 1940. Tras a II Guerra Mundial, un pequeno grupo de científicos e de administradores públicos visionarios, dos dous lados do Atlántico, consideraron a investigación unha maneira fundamental de reconstruír o continente e favorecer a paz nunha rexión con problemas. Así que, o 29 se setembro de 1954, surdiu o CERN, cunha misión dobre: producir unha ciencia de altísimo nivel e unir as nacións. Este modelo de colaboración funcionou moi ben co paso dos anos, e estendeuse a todos os continentes.
"Co paso do tempo, o CERN foise transformando no laboratorio de partículas máis destacado do mundo, e  nunca deixou o obxectivo de acadar a excelencia" dixo a Presidenta da Xunta do CERN, Agnieszka Zalewska.

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 Andrea Domínguez, 4ºA






lunes, 20 de octubre de 2014

Mars a bien été «frôlée» par la comète Siding Spring

Les Martiens ont dû avoir très peur. Dimanche, une comète, Siding Spring, a «frôlé» la planète rouge, à près de 136.000 km et à la vitesse de 56 km/seconde. Une première dans le système solaire depuis un million d'années.
A 20h27 dimanche (heure de Paris), la comète «s'est approchée au plus près» de Mars à exactement 135.895 km, soit un tiers de la distance de la Terre à la Lune, a annoncé sur Twitter l'Agence spatiale européenne (ESA). La concurrente américaine de l'ESA, la Nasa, avait prévu un passage exactement à la même heure mais à 139.500 km de Mars.
Les engins de la Nasa repositionnés
Le noyau de Siding Spring (C/2013 A1), qui fait environ 1,6 km de diamètre, est aussi compact qu'une balle de talc et file dans l'espace à la vitesse de 202.000 km/h, soit 56 km/seconde. L'astre n'avait aucune chance de percuter la Planète rouge, voisine de la Terre. Mais les scientifiques terriens se délectaient de pouvoir étudier sa trajectoire et sa traînée.





Os marcianos terían que ter moito miedo. O domingo, un cometa, Siding Spring, "rozou" o planeta vermello, casi 136.000 quilometros e a unha velocidade de 56 km / segundo. Por primeira vez no sistema solar despois dun millón de anos. 
Ás 20:27 do Domingo (hora de París), o cometa "achegouse máis" en marzo a só 135.895 quilometros, ou un tercio da distancia da Terra á Lúa, anunciou en Twitter a Axencia Espacial Europea (ESA). A competidora estadounidense ESA, a NASA, planeara un movemento á mesma hora, pero a 139.500 quilometros de Marte. 
O engranaxe da NASA reposiciona 
O núcleo de Siding Spring (C / 2013 A1), que ten arredor de 1,6 km de diámetro, é tamén unha bola compacta de talco e espazo de archivos á velocidade de 202.000 kmh ó 56 km / segundos. A estrela non tiña ningunha posibilidade de dar no planeta vermello, veciño da Terra. Pero os científicos da Terra deléitanse de poder estudar o seu camiño e sendeiro.



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Carla Vilas Castro 4º A


sábado, 18 de octubre de 2014

De l'eau glacée découverte sur Mercure


Dans l'enfer de Mercure, la Nasa confirmé une découverte surprenante, ce jeudi: la présence d'eau glacée, piégée dans des cratères du pôle nord.
«Attention, on ne dit pas qu'il peut y avoir de la vie. C'est même sans doute improbable», a précisé l'Agence lors d'une conférence tenue à son QG de Washington. Mais la présence d'eau pourrait relancer l'intérêt d'une mission à la surface de la planète la plus proche du Soleil, et aider à mieux comprendre comment la vie s'est formée sur Terre.
Sur Mercure, située trois fois plus près du Soleil que la Terre, la température au sol peut atteindre 400°C. Mais parce que la planète n'a presque pas d’atmosphère, il y fait froid la nuit. Surtout, à cause d'une inclinaison de son axe quasi-nulle (angle de 1°, contre 23° pour la Terre), une large zone du pôle nord n'est jamais touchée par les rayons du Soleil, avec des températures flirtant avec les -170°.

A NASA confirmou un descubrimento sorprendente: a presenza de xeo nos cráteres no polo norte de Mercurio.
"Mira, nós non dicimos que pode haber vida". Dixo a axencia nunha conferencia realizada na súa sede en Washington. Pero a presenza de auga podería reavivar o interese nunha misión na superficie do planeta máis próximo ao Sol.
En Mercurio, situado tres veces máis preto do Sol que a Terra, a temperatura na superficie pode chegar a 400 º C. Pero xa que o planeta non ten atmosfera, a noite é fría. En particular, debido á inclinación do seu eixe case cero (ángulo 1 °, contra 23 ° á Terra), unha gran área do Polo Norte non recibe os raios do sol, con temperaturas arredor dos -170 °.
O xeo no fondo do cráter  Prokofiev, de 70 kilómetros de ancho, suxire que ese xeo formouse fai relativamente pouco.

                                                                                                                     Rubén Andrade Botana 4ºA   



viernes, 10 de octubre de 2014

Le Nobel de chimie récompense les inventeurs de la « nanoscopie »

Le prix Nobel de chimie a été attribué, mercredi 8 octobre, aux Américains Eric Betzig et William Moerner et à l’Allemand Stefan Hell, qui ont mis au point des techniques de « microscopie à fluorescence à très haute résolution » qui permettent de « suivre les interactions entre molécules individuelles au sein des cellules vivantes », indique le jury.

  Le Nobel de chimie 2014 récompense la découverte d'un nouveau principe de microscopie par fluorescence.

O Premio Nobel de Química foi concedido aos norteamericáns Eric Betzig e William Moerner e ao alemán Stefan Hell, que puxeron a punto as técnicas do « microscopio de fluorescencia de moi alta resolución » que permiten « seguir as interaccións entre moléculas individuales nas células vivas », segundo foi indicado pola Academia Sueca.

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Departamento de Física e Química

 

 

 

miércoles, 8 de octubre de 2014

Le prix Nobel de physique 2014 récompense les ampoules LED

Les diodes électroluminescentes (LED), et en particulier celles qui émettent dans le bleu, viennent d'être récompensées par le prix Nobel de physique 2014. Deux chercheurs japonais de l'université de Nagoya, Isamu Akasaki, 85 ans, et Hiroshi Amano, 54 ans, ainsi qu'un professeur américain de l'université de Californie, à Santa Barbara, Shuji Nakamura, 60 ans, également né au Japon, ont été récompensés pour les travaux qu'ils ont conduits au début des années 1990. Ils ont été les premiers à obtenir, à partir de composants semi-conducteurs, une lumière bleue d'une grande intensité et stable dans le temps.

 Les diodes électroluminescentes bleues primées par le Nobel de physique 2014 ont permis la mise au point de lampes à très faible consommation (à droite) bien plus économiques que les tubes fluorescents, les ampoules à incandescence ou la lampe à huile.

Os diodos electrolumniscentes, e en particular os que emiten en azul, veñen de ser recompensados co Premio Nobel de Física 2014. Dous investigadores xaponeses da universidade de Nagoya, Isamu Akasaki, 85 anos, e Hiroshi Amano, 54 anos, así como un profesor americano da universidade de California, Shuji Nakamura, 60 ano, tamén nacido en Xapón, foron recompensados polos traballos realizados ao comenzo dos anos noventa. Foron os primeiros en obter, a partir de materiais semiconductes, unha luz azul moi intensa e estable no tempo.

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Departamento de Física e Química (IES de Sar)