Una
nave europea ensayara la tecnología para el futuro observatorio que intentara detectar las ondas gravitacionales predichas en la relatividad.
Piense en dos pequeños cubos macizos e idénticos.
Solo miden 4,5 centímetros de lado pero son muy pesados (dos kilos cada uno) porque
están hechos de oro y platino. Estos dos cubos van a viajar en la nave espacial
LISA Pathfinder para protagonizar un complejo experimento de caída libre con el
que la Agencia Espacial Europea (ESA) ensayara la tecnología necesaria para
construir en la década de 2030 un observatorio espacial (eLISA) que detecte las ondas gravitacionales.
Se trata
de las perturbaciones en el espacio-tiempo que Albert Einstein predijo en 1915.
Cien años después, las ondas gravitacionales constituyen la única parte de su Teoría
de la Relatividad general que todavía no ha podido ser demostrada directamente. Compara Carlos Sopuerta
“Las masas, al moverse, deforman el espacio que hay alrededor de ellas. Hay que
imaginar el espacio como un medio elástico que es deformado por las masas”
Explica
Sopuerta “Sabemos que las ondas gravitacionales existen, pero hasta ahora solo
tenemos pruebas indirectas. La única manera de poder detectarlas de forma
directa será observando cataclismo cósmicos, como fusiones de agujeros negros o
colapsos de supernovas”
La
nave está dotada de un propulsor que permitirá que en ocho semanas de trabajo: el
llamado punto de Lagrange L1, situado a 1,5 millones de kilómetros de distancia
de la Tierra.
Señala
Iván Lloro Boada “Los telescopios, ya sean espaciales o terrestres, nos
permiten ver la radiación electromagnética a diversas frecuencias, que es toda la luz:
rayos X, gamma, microondas. Es como ver una imagen. La radiación gravitacional
es un espectro totalmente diferente,
como el sonido, y nos ofrece información complementaria que nos permitirá escuchar
los grandes eventos cataclismos del Universo que de otra forma son difíciles de
observar.”
Despego el jueves a las 5:04 ( hora peninsular española) desde el Puerto
Espacial Europeo en Kurú (Guayana Fancesa ).
Un navire européen ensayara la technologie
pour le futur observatoire qui essayât il détecter les ondes gravitacionales
predichas dans la relativité
Pensez en deux petits seaux massifs et
identiques. ils seulement mesurent 4,5 centimètres de côté mais ils sont très
lourds (deux kilos chacun) parce que sont faits d'or et platine. Ces deux seaux
vont voyager dans le navire spatial LISA Pathfinder pour jouer le rôle
principal une complexe expérience de chute libre avec lequel l'Agence Spatiale
Européenne (CETTE) ensayara la technologie nécessaire pour bâtir dans le
décennie de 2030 un observatoire spatial (eLISA) que détecte les ondes gravitacionales.
Il
s'agit des perturbations dans l'espace-temps qu'Albert Einstein predijo en
1915. Cents ans après, les ondes gravitacionales constituent l'unique part de
sa Théorie de la Relativité générale qu'encore n'a pas pu être démontrée directement. Il compare Carlos
Sopuerta “Les masses, au se mouvoir, deforman l'espace qui y a autour d'elles.
Il y a qu'imaginer l'espace comme un moyen elástico qu'est deformado par les
masses”
Il
explique Sopuerta “Nous savons que les ondes gravitacionales existent, mais
jusqu'à présent nous seulement avons des preuves indirectes. L'unique façon de
pouvoir les détecter de forme directe sera en remarquant cataclismo cósmicos,
comme des fusions de trous noirs ou éffondrements de supernovas”
Le
navire est douée d'un propulsor que permettra qu'en huit semaines de travail:
l'appelé point de Lagrange L1, situé à 1,5 millions de kilomètres de distance
du Terroir.
Il
signale Iván je Pleure Boada “Les télescopes, déjà soient spatiaux ou
terrestres, nous permettent voir la radiation électromagnétique à des diverses fréquences, qu'il est toute la
lumière: rayons X, gamma, micro-ondes. Il est comme voir une image. La
radiation gravitacional est un spectre
totalement différent, comme le son, et il nous offre information complémentaire
qu'il nous permettra écouter les grands événements cataclismos de l'Univers que
d'une autre forme sont difficiles de remarquer.”
Je décolle le jeudi aux 5:04 ( heure
péninsulaire espagnole) depuis le Port Spatial Européen en Kurú ( Guayana
Fancesa ).