BIENVENUS À CONSCIENCE

Bonjour à toutes et à tous.
Ce blog est un lieu de rencontre pour les étudiants de secondaire, de la section bilingue - matière physique-chimie- de l´
IES de Sar de Santiago de Compostela (Galice, Espagne).Un espace dans lequel les élèves de 3º et 4º de la ESO commentent des nouvelles en relation avec la science qu´ils trouvent en langue française.
Tous les commentaires et collaborations sont les bienvenus.



Ola a todas e todos.

Este Blogue é un lugar de encontro para os estudantes de secundaria da Sección Bilingüe en Francés, na materia de Física e Química do IES de Sar de Santiago de Compostela (Galicia).

Nel as alumnas e alumnos de 3º e 4º da ESO comentan certas novas relacionadas coa ciencia que atopan en lingua francesa.

Todos os comentarios e colaboracións son moi benvidos.


viernes, 11 de diciembre de 2015

Una nave europea ensayara la tecnología para el futuro observatorio que intentara detectar las ondas gravitacionales predichas en la relatividad.

    Piense en dos pequeños cubos macizos e idénticos. Solo miden 4,5 centímetros de lado pero son muy pesados (dos kilos cada uno) porque están hechos de oro y platino. Estos dos cubos van a viajar en la nave espacial LISA Pathfinder para protagonizar un complejo experimento de caída libre con el que la Agencia Espacial Europea (ESA) ensayara la tecnología necesaria para construir en la década de 2030 un observatorio espacial (eLISA)  que detecte las ondas gravitacionales.
     Se trata de las perturbaciones en el espacio-tiempo que Albert Einstein predijo en 1915. Cien años después, las ondas gravitacionales constituyen la única parte de su Teoría de la Relatividad general que todavía no ha podido ser  demostrada directamente. Compara Carlos Sopuerta “Las masas, al moverse, deforman el espacio que hay alrededor de ellas. Hay que imaginar el espacio como un medio elástico que es deformado por las masas”
     Explica Sopuerta “Sabemos que las ondas gravitacionales existen, pero hasta ahora solo tenemos pruebas indirectas. La única manera de poder detectarlas de forma directa será observando cataclismo cósmicos, como fusiones de agujeros negros o colapsos de supernovas”
     La nave está dotada de un propulsor que permitirá que en ocho semanas de trabajo: el llamado punto de Lagrange L1, situado a 1,5 millones de kilómetros de distancia de la Tierra.
      Señala Iván Lloro Boada “Los telescopios, ya sean espaciales o terrestres, nos permiten ver la radiación electromagnética  a diversas frecuencias, que es toda la luz: rayos X, gamma, microondas. Es como ver una imagen. La radiación gravitacional es un espectro  totalmente diferente, como el sonido, y nos ofrece información complementaria que nos permitirá escuchar los grandes eventos cataclismos del Universo que de otra forma son difíciles de observar.”
       Despego el jueves a las 5:04 ( hora peninsular española) desde el Puerto Espacial Europeo en Kurú (Guayana Fancesa ).
Un navire européen ensayara la technologie pour le futur observatoire qui essayât il détecter les ondes gravitacionales predichas dans la relativité
Pensez en deux petits seaux massifs et identiques. ils seulement mesurent 4,5 centimètres de côté mais ils sont très lourds (deux kilos chacun) parce que sont faits d'or et platine. Ces deux seaux vont voyager dans le navire spatial LISA Pathfinder pour jouer le rôle principal une complexe expérience de chute libre avec lequel l'Agence Spatiale Européenne (CETTE) ensayara la technologie nécessaire pour bâtir dans le décennie de 2030 un observatoire spatial (eLISA)  que détecte les ondes gravitacionales.
     Il s'agit des perturbations dans l'espace-temps qu'Albert Einstein predijo en 1915. Cents ans après, les ondes gravitacionales constituent l'unique part de sa Théorie de la Relativité générale qu'encore n'a pas pu être  démontrée directement. Il compare Carlos Sopuerta “Les masses, au se mouvoir, deforman l'espace qui y a autour d'elles. Il y a qu'imaginer l'espace comme un moyen elástico qu'est deformado par les masses”
     Il explique Sopuerta “Nous savons que les ondes gravitacionales existent, mais jusqu'à présent nous seulement avons des preuves indirectes. L'unique façon de pouvoir les détecter de forme directe sera en remarquant cataclismo cósmicos, comme des fusions de trous noirs ou éffondrements de supernovas”
     Le navire est douée d'un propulsor que permettra qu'en huit semaines de travail: l'appelé point de Lagrange L1, situé à 1,5 millions de kilomètres de distance du Terroir.
      Il signale Iván je Pleure Boada “Les télescopes, déjà soient spatiaux ou terrestres, nous permettent voir la radiation électromagnétique  à des diverses fréquences, qu'il est toute la lumière: rayons X, gamma, micro-ondes. Il est comme voir une image. La radiation gravitacional est un spectre  totalement différent, comme le son, et il nous offre information complémentaire qu'il nous permettra écouter les grands événements cataclismos de l'Univers que d'une autre forme sont difficiles de remarquer.”

       Je décolle le jeudi aux 5:04 ( heure péninsulaire espagnole) depuis le Port Spatial Européen en Kurú ( Guayana Fancesa ).

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